La Boite à sardines

Et pendant ce temps sur le stand Ankama – FIJ 2017

Cette année, le stand sur lequel j’ai le plus passé de temps est le stand d’Ankama.

Ankama, c’est le studio des dessins animés se déroulant dans le monde des douze : « Wakfu » et « Dofus ». Ankama, c’est aussi un éditeur de BD et de mangas, de jeu vidéo en ligne, de produits dérivés. Ankama, c’est également les jeux de plateau dans le monde de « Wakfu » et « Dofus » : Krosmaster Arena, Krosmaster Quest avec leurs adorables figurines SD (Super Deformed – tête énorme sur de petits corps) et leurs décors en 3D.
Mais pour moi, en cette édition 2017 du FIJ, Ankama, c’est surtout 2 parties dans les galaxies de Stellium, une partie dans le jardin du 75 Gnom’ Street et une course poursuite endiablée sur le pont de Gang Rush Breakout.

Comme des articles décrivant en détail les mécaniques sont prévus, je vous livre juste ici un petit aperçu de ces 3 jeux afin d’attiser votre appétit.

 

Au milieu des étoiles

Stellium  est le jeu qui m’a accroché sur le stand. Un plateau noir parsemé de constellations. Dessus, des sphères jaunes, vertes, bleues, roses, comme autant de soleils, planètes et autres corps stellaires. Il n’en fallait pas plus pour attirer mon attention et provoquer en moi une irrésistible envie de m’asseoir pour essayer ce jeu au nom si évocateur « Stellium ». Et je ne regrette pas. La thématique me plaît. Je le trouve agréable à l’œil. Il m’a trituré les neurones. J’ai aimé le système de pioche des billes à l’aveugle en se fiant au toucher : chaque type de bille à une texture particulière.
Le but du jeu est de placer les billes sur le plateau de façon à reproduire des figures déterminées par des cartes « contrat ». Les contrats remplis rapporteront des points de victoire.
A son tour, chaque joueur pioche une bille, la pose sur la plateau, en applique les effets (chaque type de corps céleste à un effet particuliers) et peut piocher une carte « contrat ». Je ne m’appesantis pas davantage sur les mécanismes, un article vous détaillera Stellium.

 

Au fond du jardin

75 Gnom’ Street est le deuxième jeu testé sur le stand Ankama. On retrouve la « patte Ankama », c’est-à-dire du mignon qui cogne dur : des figurines sympathiques de p’tits nains de jardins avec leur chapeau pointu qui feraient presque oublier qu’elles cachent dans leur dos poings américains et autres joyeusetés belliqueuses, des dessins pleins d’humour, du matériel très coloré …
Je vous livre un petit aperçu du contexte : des gangs de nains de jardin se disputent le contrôle du jardin et essaient de se voler leurs trésors à grand renfort d’interrogatoire plus ou moins musclé et de chat. 75 Gnom’ Street marie déduction, bluff et tactique. Là encore, un chimérien s’est chargé d’écrire un texte pour vous présenter en détail 75 Gnom’ Street.

 

Ou sur un pont frontalier

Alors, pour moi, notre partie de Gang Rush Breakout entre chimériens a été une bonne grosse partie de rigolade, dans le plus pur style du défouloir. Imaginez : 5 voitures de gangsters customisées (pare-choc, tourelle …), lancées à tombeau ouvert dans une course en 3D se déroulant sur un pont (le décor fait environ 1 m de long !!), zigzagant entre des containers et des barrières, s’expliquant à coups de révolvers, se télescopant pour s’envoyer dans le décor (… ou au fond du fleuve !), les billets qui pleuvent à chaque impact (de balle ou de tôle tordue), tout ça sous la menace d’une police prompte à défourailler et du parrain qui attend ses ouailles de l’autre côté du pont avec des liasses de billets.
Bref, on se tire la bourre et dessus, on se rentre dedans, on se fait des coups tordus (au début de chaque tour, chaque joueur a le droit de poser un obstacle où il veut !).
Le but est simple : ne pas terminer la course le dernier (le parrain offre au dernier un aller simple pour l’Alaska !) et terminer la course en étant le plus riche.
La mécanique repose sur le lancer de 5 dés. Les faces obtenues servent à accélérer (ou freiner), à tourner, tirer, réparer son véhicule … Sachant que plus on va vite, plus on va loin, mais moins il est facile de tourner et là les ennuis commencent !
Les informations utiles concernant la gestion de son véhicule sont rassemblées sur un cadran/tableau de bord propre à chaque véhicule. Celui-ci indique sa vitesse actuelle, sa capacité à tourner, l’état de sa carrosserie … Difficile de faire plus clair et plus ergonomique. Bref du matériel qui donne envie de jouer (hormis les billets de banques qui, pour pouvoir tenir sur les cases sur les cases du pont, sont sacrément petits !).

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