Résumé de la 2eme session :
MD : Walderim
Vel : Pash
Okinawak : Mathus
Lazarock : Lowhhrick
Melendil : Oskara
Rien de tel qu’un petit cigare parfumé au ryll prélevé directement dans la cave de Teemo the Hutt pour faire redescendre la pression après notre confrontation avec Trex le Trandoshan. Si le combat fut bref, il n’en fut pas moins violent ; laissant un peu partout de sombres tâches rouges du sol au plafond dans notre nouveau vaisseau. L’ancien propriétaire était peu contentieux car après une rapide visite d’inspection des lieux : ça pue et c’est crade.
L’hyper-espace est enclenché et les pieds sur une caisse qui traine sur le sol ; je savoure ce nectar de cigare. Mais à peine de temps d’en tirer 2 bouffées que je suis sorti de ma rêverie par les signaux d’alerte du vaisseau et des vagissements qui sortent des haut-parleurs.
Dans le poste de pilotage, notre pilote Pash cherche à comprendre ce qu’il se passe mais sans grand succès. Nous remarquons alors qu’outre le fait que cela pue, c’est en fait une véritable infection. Après un rapide tour d’inspection, l’odeur provient d’une cache secrète. Notre Wookie y trouve des peaux non tannées de ses congénères. Mathus notre mécano arrive avec l’aide de son R5 à modifier la langue du vaisseau, ce qui aide Pash à mettre quelque peu en sourdine l’alerte et comprendre que le vaisseau est très bas en énergie. Cela devrait suffire pour rallier Ryloth.
Nous découvrons avec Lowhhrick 5 caisses hermétiques. L’une d’elle semble être occupée par un organisme vivant.
Les personnes dans le cockpit nous confirment d’après les senseurs notre découverte. Prenant nos précautions, nous ouvrons le caisson pour y trouver un Twi'leks que je reconnais comme étant l’activiste B'ura B'an. Après l’avoir aidé à sortir et offert à manger et à boire, il nous explique que lors d’un déplacement, il a été enlevé par Trex afin d’être livré à notre ancien employeur, Teemo the Hutt.
Les vagissements s’arrêtent soudainement. Notre mécano nous explique qu’en fait il s’agissait d’un concerto pour Gamorrean en la mineur. L’un des autres contient les restes d’une carapace en chitine.
Il reste tout de même cette étrange loupiotte en forme de corne qui clignote sur le tableau de bord. Quelques minutes plus tard, nos camarades trouveront qu’il s’agit en fait d’un émetteur signalant la position du vaisseau. Cela ne présume rien de bon. Notre mécano envoie notre droide afin de déloger de la coque ce petit espion mais en vain.
L’hyper-espace est de nouveau enclenché et nous prenons la direction de Ryloth.
B'ura B'an nous demande de l’aider. En effet les humains qui tenaient les mines de Ryll ont disparu. Ce qui permet aux Twi'leks d’espérer pouvoir jouir de l’exploitation des dîtes mines mais de nouveaux margoulins probablement à la solde de Teemo the Hutt posent des soucis.
Avec les contacts de B'ura B'an au spatioport, nous passons sans souci les services douaniers. Pendant que le ravitaillement du vaisseau en énergie est effectué ; avec Lowhhrick nous rallions le désert afin de rendre un dernier hommage à ses congénères. Ce sera simple : la crémation des peaux est émouvante pour la grosse boule de poils.
De retour au spatioport, nous nous rendons avec le reste de la bande dans les bas-quartiers pour retrouver les autres membres de l’organisation d’activistes. Pash suspicieux, remarquera un peu tard qu’un Kubaz nous surveille de très loin. Arrivés sur place, nous en informons les séditieux qui prennent la décision de rejoindre une autre planque. Je fais le lien avec le chasseur de combat que j’ai aperçu bien des fois chez Teemoh the Hutt et qu’il m’a été donné de voir au spatioport de Ryloth. Ce vaisseau appartient à un Kubaz à la solde de notre ancien employeur.
Sur place, on nous explique que la mine est proche d’un complexe touristique en cours de construction. Mais il semblerait que cela ne soit qu’une façade car des attaques ont été menées par Angu Dromb ; un humain roux en provenance de ce site fantoche.
Je contacte ma sœur afin de lui demander d’emmener papa et maman sur la côte d’opale. Même si leur petit commerce doit être fermé quelques jours, je connais les méthodes de mon ancien employeur.
Nous partons donc au petit matin en direction de la mine après avoir fait quelques emplettes. A l’approche d’une formation rocheuse, notre pilote remarque des formes. Pas le temps de nous prévenir que notre land speeder est touché et se retourne. S’en suis un échange de coups de blasters et les 4 belligérants qui d’ailleurs ne sont plus que 2 décident de se réfugier dans une caverne. Après quelques tergiversations ; ils sortent les mains en l’air avec chacun une grenade. Les 2 seront stunnés.
S’en suit un interrogatoire qui confirme nos craintes. Une prime sur le groupe a été émise par Teemo the Hutt dès notre départ de Tatooine. Ils sont en contact avec le Kubaz que nous avons aperçu préalablement.
[STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Modérateur : Le CA
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Quelques images:
Arrivée sur Ryloth
B'ura B'an
Nyn
Ryloth
Course poursuite avec le Lylek
Angu Drombb
Arrivée sur Ryloth
B'ura B'an
Nyn
Ryloth
Course poursuite avec le Lylek
Angu Drombb
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Ota
Arrivée sur Rodia
Yamov
Seelo
Un nouvel employeur présumé
Arrivée sur Rodia
Yamov
Seelo
Un nouvel employeur présumé
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
OUF, la situation pourrait être pire, je vois pas comment mais je suis sûr que c’est possible, si on omet les fusillades, les saut hyperspatiaux faits à la vas-vite, une course-poursuite avec un monstre qui aurai plus sa place dans des holos pas recommandables, une imposture qui aurait dû échouer à chaque étape de son exécution, des trafics en tout genre et une entrevue un peu trop personnelle avec le baron du crime le plus influent et cruel de la galaxie, on s’en sort plutôt bien.
Franchement, tout va pour le mieux, hormis le fait que l’on ait des comptes à rendre au dit baron du crime, et une dette de 90,000 crédits envers la cellule indépendantiste qui nous à donner du boulot, avec la certitude que chacun nous fera la peau si on ne remplit pas notre part du contrat.
Ça commençait bien pourtant, on avait libéré la mine des potes de B’ura B’an, avec une démonstration de violence que j’aurai aimé évité, même si on s’était préparé au pire.
Enfin ça c’est le passé, on avait donc gagné la confiance d’une troupe de twi’lek qui voulait se (re)lancer dans le trafic de ryll.
Pendant que Pash s'engueulait avec la patronne de la troupe, on a fait la connaissance d’un botan du nom de Ota, plutôt sympa, membre de la cellule et apparemment avec un réseau d’informateurs et de connexions qui semble rivaliser celui de l’Empire, et en plus prêt à nous donner des infos sur les supposées manœuvres de Teemo.
Il faut croire que la limace en à eu marre de passer par des intermédiaires pour ses diverses magouilles, parce qu’il s’est démerdé pour dégoter un ingénieur génosien spécialiste en droïde.
Je pensais qu’ils avaient disparus, mais apparemment non, deux clans ont survécu, et ils sont en relation avec Teemo, enfin, l’un lui cire les pompes et l’autre le veut mort, Dimmock et Piddock respectivement, comme si c’était pas déjà assez difficile de faire la différence, ils faut en plus qu’ils aient des noms similaire, je donne pas deux heures avant que ça tourne au qui pro quo.
On a aussi retiré de cette entrevu, sauf Pash qui était trop occupé à débattre de si oui ou non la présence de Ota était nécessaire, et Lowrick qui dessoulait de la veille (je sais même pas ou un wookie trouve assez de gnole pour finir dans cet état), que notre première livraison allait se faire sur Rodia, un charmant caillou aussi humide que Tatooine est sèche.
Enfin c’est ce qu’on m’a dit, j’ai même pas eu l’occasion de sortir du spatioport, personne n’en a vraiment eu l’occasion d’ailleurs, parce que à peine arrivé il a fallu qu’on se retrouve encore dans la bouse de dewback jusqu’au cou.
Je sais pas trop pourquoi mais Pash s’est embrouillé avec notre client et Oskara a fini par déclencher une fusillade.
Pour une fois la chance n’était pas de notre coté, et ça à vite tourné au vinaigre, d’abord Oskara, puis Pash, puis le vaisseau(renommé quelque heures plus tôt le « Rien A Signaler », et attribué à un lieutenant de Jabba du nom de B’oulian, quand on me demande de trafiquer un transpondeur, je fait pas les choses à moitié), Lowrick s’est rendu en voyant que la seule autre issue était de finir en descente de lit dans une suite de luxe trandoshan, et j’ai tenté de me cacher dans le compartiment secret qu’on avait trouvé, apparemment Oscara l’avait nettoyé, mais il fait croire que les effluves wookie ne se soucient pas de ce genre de choses, quand ils m’ont trouvé j’était déjà en larme et avec la gorge en feu.
Suite à cette joyeuse débâcle, nos assaillants nous on embarqués dans un vaisseau qui m’aurait presque paru confortable sans la partie où nous étions menottés à des barreaux.
Pash s’est quand même dit que ce serai une bonne idée de voler la puce du maton, il y a gagné un coup au torse et un séjour à l’écart, pendant ce temps Lowrick s’énervait sur ses menottes, qui n’avait pas l’air de vouloir lâcher, le barreau qui le maintenait immobile était une autre histoire, Oskara était trop dans les vapes pour tenter quoi que ce soit, les tirs qu’elle avait encaissés lui avait pas fait de bien, et moi je me doutai que quoi que je tente, ça finirait mal, ils nous avaient capturés, au moins ils nous voulaient vivant.
Quand on a atterri je me suis dis que c’était fini, je sais qu’il y a plein de planètes désertiques, mais je reconnaitrais Tatooine entre mille, surtout parce que des planètes avec trois soleils ça court pas les rues, j’aurai parié que c’était des gars de Teemo, mais je sais pas si la vérité était vraiment mieux.
On était chez le Hutt, pas se caïd de seconde zone de Teemo, LE Hutt, et je dois admettre qu’entre lui et Teemo, y’a pas holo.
On nous a escortés jusque devant lui, puis il nous à cordialement demander POURQUOI ON SE FAISAIT PASSER POUR DES GARS A LUI, léger malaise...
Bref, donc au milieu de cette tempête de merde, Pash essaye de trouver un mensonge qui peut marcher, Lowrick à l’air de se demander si « jouer avec l’animal de compagnie » de Jabba est une solution viable, et Oskara est en pilote automatique et à l’air d’espérer que la mise à mort sera rapide, un sentiment que je partage, même si contrairement à elle, j’ai vraiment rien à perdre, pas de famille ou d’attaches, et que je ne compte pas mourir sans embarquer Teemo dans la tombe, ou en tout cas le faire chier le plus possible avant de caner.
Je dois bien avouer que j’ai été bon sur ce coup, et même si j’avais tort, au moins ça nous donne un sursis bienvenu, j’ai fait l’exact inverse de Pash, j’avais entendu il y a longtemps qu’un bon mensonge à un fond de vérité, et le je lui ai servi des faits, les opération de Angu Dromb sur Rylloth, l’enlèvement de B’ura B’an, les relation des clans géonosiens et Teemo, l’ingénieur transporté par Trex, tout semble indiquer que Teemo trame quelque chose, il a eu l’air d’aimer l’honnêteté, car une fois que j’ai eu fini de vider mon sac, il nous à grosso modo dit que si on était capable de prouver ces accusation, il ne nous tuerai pas, ce qui est déjà un début.
Ce qui m’inquiète plus, c’est le fait qu’il n’ai pas fait posé de balise sur le RAS, soit il sait qu’on va revenir parce que Teemo essaye vraiment de le doubler, soit il est sûr de pouvoir nous traquer sans, et vu sa réputation, c’est probablement les deux.
Donc de retour sur Rylloth, on annonce à la bande de rebelles (non pas ceux-là, encore heureux) que le deal a été "légèrement" altéré, et qu'on doit récolter des preuve sur Teemo au plus vite.
C'est Ota qui nous à sauvé sur ce coup, il nous a fait inviter à une réception à laquelle les deux clans géonosien devraient participer, j'ai un mauvais pressentiment.
Au moins R5 va bien, c’est bien le seul qui n’ai pas activement tenté de nous faire tuer.
Franchement, tout va pour le mieux, hormis le fait que l’on ait des comptes à rendre au dit baron du crime, et une dette de 90,000 crédits envers la cellule indépendantiste qui nous à donner du boulot, avec la certitude que chacun nous fera la peau si on ne remplit pas notre part du contrat.
Ça commençait bien pourtant, on avait libéré la mine des potes de B’ura B’an, avec une démonstration de violence que j’aurai aimé évité, même si on s’était préparé au pire.
Enfin ça c’est le passé, on avait donc gagné la confiance d’une troupe de twi’lek qui voulait se (re)lancer dans le trafic de ryll.
Pendant que Pash s'engueulait avec la patronne de la troupe, on a fait la connaissance d’un botan du nom de Ota, plutôt sympa, membre de la cellule et apparemment avec un réseau d’informateurs et de connexions qui semble rivaliser celui de l’Empire, et en plus prêt à nous donner des infos sur les supposées manœuvres de Teemo.
Il faut croire que la limace en à eu marre de passer par des intermédiaires pour ses diverses magouilles, parce qu’il s’est démerdé pour dégoter un ingénieur génosien spécialiste en droïde.
Je pensais qu’ils avaient disparus, mais apparemment non, deux clans ont survécu, et ils sont en relation avec Teemo, enfin, l’un lui cire les pompes et l’autre le veut mort, Dimmock et Piddock respectivement, comme si c’était pas déjà assez difficile de faire la différence, ils faut en plus qu’ils aient des noms similaire, je donne pas deux heures avant que ça tourne au qui pro quo.
On a aussi retiré de cette entrevu, sauf Pash qui était trop occupé à débattre de si oui ou non la présence de Ota était nécessaire, et Lowrick qui dessoulait de la veille (je sais même pas ou un wookie trouve assez de gnole pour finir dans cet état), que notre première livraison allait se faire sur Rodia, un charmant caillou aussi humide que Tatooine est sèche.
Enfin c’est ce qu’on m’a dit, j’ai même pas eu l’occasion de sortir du spatioport, personne n’en a vraiment eu l’occasion d’ailleurs, parce que à peine arrivé il a fallu qu’on se retrouve encore dans la bouse de dewback jusqu’au cou.
Je sais pas trop pourquoi mais Pash s’est embrouillé avec notre client et Oskara a fini par déclencher une fusillade.
Pour une fois la chance n’était pas de notre coté, et ça à vite tourné au vinaigre, d’abord Oskara, puis Pash, puis le vaisseau(renommé quelque heures plus tôt le « Rien A Signaler », et attribué à un lieutenant de Jabba du nom de B’oulian, quand on me demande de trafiquer un transpondeur, je fait pas les choses à moitié), Lowrick s’est rendu en voyant que la seule autre issue était de finir en descente de lit dans une suite de luxe trandoshan, et j’ai tenté de me cacher dans le compartiment secret qu’on avait trouvé, apparemment Oscara l’avait nettoyé, mais il fait croire que les effluves wookie ne se soucient pas de ce genre de choses, quand ils m’ont trouvé j’était déjà en larme et avec la gorge en feu.
Suite à cette joyeuse débâcle, nos assaillants nous on embarqués dans un vaisseau qui m’aurait presque paru confortable sans la partie où nous étions menottés à des barreaux.
Pash s’est quand même dit que ce serai une bonne idée de voler la puce du maton, il y a gagné un coup au torse et un séjour à l’écart, pendant ce temps Lowrick s’énervait sur ses menottes, qui n’avait pas l’air de vouloir lâcher, le barreau qui le maintenait immobile était une autre histoire, Oskara était trop dans les vapes pour tenter quoi que ce soit, les tirs qu’elle avait encaissés lui avait pas fait de bien, et moi je me doutai que quoi que je tente, ça finirait mal, ils nous avaient capturés, au moins ils nous voulaient vivant.
Quand on a atterri je me suis dis que c’était fini, je sais qu’il y a plein de planètes désertiques, mais je reconnaitrais Tatooine entre mille, surtout parce que des planètes avec trois soleils ça court pas les rues, j’aurai parié que c’était des gars de Teemo, mais je sais pas si la vérité était vraiment mieux.
On était chez le Hutt, pas se caïd de seconde zone de Teemo, LE Hutt, et je dois admettre qu’entre lui et Teemo, y’a pas holo.
On nous a escortés jusque devant lui, puis il nous à cordialement demander POURQUOI ON SE FAISAIT PASSER POUR DES GARS A LUI, léger malaise...
Bref, donc au milieu de cette tempête de merde, Pash essaye de trouver un mensonge qui peut marcher, Lowrick à l’air de se demander si « jouer avec l’animal de compagnie » de Jabba est une solution viable, et Oskara est en pilote automatique et à l’air d’espérer que la mise à mort sera rapide, un sentiment que je partage, même si contrairement à elle, j’ai vraiment rien à perdre, pas de famille ou d’attaches, et que je ne compte pas mourir sans embarquer Teemo dans la tombe, ou en tout cas le faire chier le plus possible avant de caner.
Je dois bien avouer que j’ai été bon sur ce coup, et même si j’avais tort, au moins ça nous donne un sursis bienvenu, j’ai fait l’exact inverse de Pash, j’avais entendu il y a longtemps qu’un bon mensonge à un fond de vérité, et le je lui ai servi des faits, les opération de Angu Dromb sur Rylloth, l’enlèvement de B’ura B’an, les relation des clans géonosiens et Teemo, l’ingénieur transporté par Trex, tout semble indiquer que Teemo trame quelque chose, il a eu l’air d’aimer l’honnêteté, car une fois que j’ai eu fini de vider mon sac, il nous à grosso modo dit que si on était capable de prouver ces accusation, il ne nous tuerai pas, ce qui est déjà un début.
Ce qui m’inquiète plus, c’est le fait qu’il n’ai pas fait posé de balise sur le RAS, soit il sait qu’on va revenir parce que Teemo essaye vraiment de le doubler, soit il est sûr de pouvoir nous traquer sans, et vu sa réputation, c’est probablement les deux.
Donc de retour sur Rylloth, on annonce à la bande de rebelles (non pas ceux-là, encore heureux) que le deal a été "légèrement" altéré, et qu'on doit récolter des preuve sur Teemo au plus vite.
C'est Ota qui nous à sauvé sur ce coup, il nous a fait inviter à une réception à laquelle les deux clans géonosien devraient participer, j'ai un mauvais pressentiment.
Au moins R5 va bien, c’est bien le seul qui n’ai pas activement tenté de nous faire tuer.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Résumé de la 7eme session :
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Lowhhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Après un âpre combat contre le Kubaz dénommé Thweek et 2 ties fighter ; force est de constater que notre vaisseau, le « Rien à signaler » a énormément souffert et qu’il nous sera difficile de rejoindre un autre système.
Thweek
Nous décidons donc d’aller faire notre compte rendu à Jabba the Hutt. Le coût des réparations se monte à 10k crédits et il devrait être immobilisé une semaine mais nous n’avons guère le choix.
Entre temps le Twilek B'ura B'an nous a contacté car il est désespéré.
B'ura B'an
Sans les 90k crédits que nous lui avons fait perdre, il ne pourra pas continuer à faire fonctionner sa mine et extraire le précieux Ryll. Après quelques discutailleries entre nous où seul Pash est opposé à demander d’ouvrir une nouvelle ligne de crédit au maître des lieux ; nous décidons d’aider le Twi'lek.
Remarque personnel : plus nous sommes en affaire et plus notre dettes augmentent.
Annata nous informe que son employeur a été espionné.
Annata
Jabba le magnanime nous laisse un mois pour retrouver cet espion et lui ramener. Mathus fait le rapprochement avec Thweek que nous avons laissé pour mort lorsque son vaisseau s’est écrasé.
Nous retournerons donc sur le lieu du crash mais afin de ne pas revenir les mains vides, nous demandons au Toydarien de nous prêter un speeder en complément du notre afin de pouvoir récupérer quelques pièces sur le lieu du crash.
Quelques jours plus tard, nous arrivons où le Kubaz s’est écrasé. De l’espion il n’y a aucune trace et l’ordinateur de bord semble avoir été effacé.
Mathus en profite pour récupérer un laser du vaisseau et l’installer sur notre speeder. Les affaires reprennent.
Après avoir atteint une haute dune, 3 choix s’offrent à nous. Aller inspecter l’endroit où se sont crashés les 2 ties, une colonne de sable (probablement un sandcrawler et des jawas) et une formation rocheuse d’où monte de la fumée.
Nous nous dirigeons vers cette dernière et alors que nous approchons d’un défilé nous faisons halte afin d’en savoir un peu plus sur ce qui nous attend. Oskara escalade mais se retrouve nez à nez avec un homme des sables qui surpris autant qu’elle ; est abattu net. Pash la rejoint et les deux compagnons commencent l’observation d’un campement. Pendant ce temps, le wookie et Mathus dissimulent tant bien que mal les 2 speeders.
Une cinquantaine d’hommes des sables semblent occuper la place. L’attention des deux guetteurs est attirée par un va et vient d’hommes des sables apportant de la nourriture dans une grotte.
Attendant la nuit, prudemment ils se rapprochent de l’anfractuosité sans avoir alerté un troupeau de banthas mais sont pris un peu plus loin au dépourvu par l’apparition de ce qui semble être un enfant homme des sables.
Gosse flippant
La réaction d’Oskara est spontanée et avec son plus jolie sourire d’assassin sort une barre protéinée : « Tu veux un bonbon gamin ? ». Hésitant, le mioche prend la barre et profitant que le gosse savoure la friandise ; Oskara l’assomme.
Arrivées dans la grotte ; Pash et Oskara tombent nez à nez avec 2 hommes des sables. Le combat est bref et nos deux héros découvrent Thweek sur sol. Il semble qu’il ait été soigné et chose surprenante il n’est pas attaché. Ils repartent avec leurs prisonniers mais sur le chemin du retour un homme des sables les voit et leurs tire dessus. Ce qui évidement provoque une certaine agitation chez les banthas qui se transforme très vite en une charge affolée dans un défilé étroit. Les deux compagnons courent avec leur prisonnier afin de ne pas être piétinés et se réfugient dans une anfractuosité.
C’est la cohue ; le défilé est plus ou moins bouché par cet amas de viande arrêté par 2 speeders qui ne survivent pas à la charge.
Les rescapés parviennent à trouver une cheminée et un passage qui les mène de l’autre côté du défilé où ils retrouvent Lowhhrick et Mathus. Ce dernier a en effet pu rafistoler 1 speeder avec les 2 épaves. Nos compagnons repartent avec le Qubaz en direction de la civilisation. Certes, il s’agit du palais de Jabba the Hutt. En chemin, Thweek révèle ce qu’il sait. Il n’est pas celui qu’ils prenaient pour l’espion et qui travaille pour Teemo. Il s’agirait d’un Bith s'appelant Cool Banjax Wab et ferait parti d’un groupe renommé : Cool Banjax Wab et les mortifiés.
Cool Banjax Wab
Arrivé sur place, nous devons rembourser le speeder qu’Annata nous avait prêté et nous sommes dans l’obligation de laisser notre speeder en dépôt. Nous prenons connaissance des prochaines représentations des « Cool Banjax Wab et les mortifiés » et apprenons qu’ils se donneront en spectacle chez un gouverneur de l’empire sur une petite lune, sur un vaisseau pirate et sur Trandosha, la planète des ennemis jurés des Wookies.
Nous prenons la décision d’agir au plus vite. Après quelques recherches effectuées par Mathus, nous décidons de nous faire passer pour le « First Order » en tournée exceptionnelle dans le système.
Notre groupe se compose :
Pash : chanteur et guitariste
Mathus : bassiste
Lazarock : batteur
Oskara : choriste
R5.42: ingénieur son
Une maquette est envoyée au secrétariat du gouverneur pour faire la première partie du groupe du Bith. Mathus ressemble à s’y méprendre au bassiste du dît groupe. La réponse ne se fait pas attendre et des invitations nous sont envoyées.
Nous prenons donc la direction de Fudila avec notre vaisseau qui a été réparé. Arrivé sur place et quelques bakchichs pour faire oublier que nous sommes en possession d’un fusil blaster Geonosien considéré comme illégale nous sommes amenés dans notre suite en attendant le début de notre prestation.
Nous rencontrons notre première fan en la personne de la fille du gouverneur. Elle doit avoir une quinzaine d’année et vient timidement dans notre chambre pour demander à Mathus un autographe et un selfie.
Nous avons demandé à rencontrer Bith et son groupe avant notre prestation histoire de régler 2, 3 détails.
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Lowhhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Après un âpre combat contre le Kubaz dénommé Thweek et 2 ties fighter ; force est de constater que notre vaisseau, le « Rien à signaler » a énormément souffert et qu’il nous sera difficile de rejoindre un autre système.
Thweek
Nous décidons donc d’aller faire notre compte rendu à Jabba the Hutt. Le coût des réparations se monte à 10k crédits et il devrait être immobilisé une semaine mais nous n’avons guère le choix.
Entre temps le Twilek B'ura B'an nous a contacté car il est désespéré.
B'ura B'an
Sans les 90k crédits que nous lui avons fait perdre, il ne pourra pas continuer à faire fonctionner sa mine et extraire le précieux Ryll. Après quelques discutailleries entre nous où seul Pash est opposé à demander d’ouvrir une nouvelle ligne de crédit au maître des lieux ; nous décidons d’aider le Twi'lek.Remarque personnel : plus nous sommes en affaire et plus notre dettes augmentent.
Annata nous informe que son employeur a été espionné.
Annata
Jabba le magnanime nous laisse un mois pour retrouver cet espion et lui ramener. Mathus fait le rapprochement avec Thweek que nous avons laissé pour mort lorsque son vaisseau s’est écrasé.
Nous retournerons donc sur le lieu du crash mais afin de ne pas revenir les mains vides, nous demandons au Toydarien de nous prêter un speeder en complément du notre afin de pouvoir récupérer quelques pièces sur le lieu du crash.
Quelques jours plus tard, nous arrivons où le Kubaz s’est écrasé. De l’espion il n’y a aucune trace et l’ordinateur de bord semble avoir été effacé.
Mathus en profite pour récupérer un laser du vaisseau et l’installer sur notre speeder. Les affaires reprennent.
Après avoir atteint une haute dune, 3 choix s’offrent à nous. Aller inspecter l’endroit où se sont crashés les 2 ties, une colonne de sable (probablement un sandcrawler et des jawas) et une formation rocheuse d’où monte de la fumée.
Nous nous dirigeons vers cette dernière et alors que nous approchons d’un défilé nous faisons halte afin d’en savoir un peu plus sur ce qui nous attend. Oskara escalade mais se retrouve nez à nez avec un homme des sables qui surpris autant qu’elle ; est abattu net. Pash la rejoint et les deux compagnons commencent l’observation d’un campement. Pendant ce temps, le wookie et Mathus dissimulent tant bien que mal les 2 speeders.Une cinquantaine d’hommes des sables semblent occuper la place. L’attention des deux guetteurs est attirée par un va et vient d’hommes des sables apportant de la nourriture dans une grotte.
Attendant la nuit, prudemment ils se rapprochent de l’anfractuosité sans avoir alerté un troupeau de banthas mais sont pris un peu plus loin au dépourvu par l’apparition de ce qui semble être un enfant homme des sables.
Gosse flippant
La réaction d’Oskara est spontanée et avec son plus jolie sourire d’assassin sort une barre protéinée : « Tu veux un bonbon gamin ? ». Hésitant, le mioche prend la barre et profitant que le gosse savoure la friandise ; Oskara l’assomme.
Arrivées dans la grotte ; Pash et Oskara tombent nez à nez avec 2 hommes des sables. Le combat est bref et nos deux héros découvrent Thweek sur sol. Il semble qu’il ait été soigné et chose surprenante il n’est pas attaché. Ils repartent avec leurs prisonniers mais sur le chemin du retour un homme des sables les voit et leurs tire dessus. Ce qui évidement provoque une certaine agitation chez les banthas qui se transforme très vite en une charge affolée dans un défilé étroit. Les deux compagnons courent avec leur prisonnier afin de ne pas être piétinés et se réfugient dans une anfractuosité.
C’est la cohue ; le défilé est plus ou moins bouché par cet amas de viande arrêté par 2 speeders qui ne survivent pas à la charge.
Les rescapés parviennent à trouver une cheminée et un passage qui les mène de l’autre côté du défilé où ils retrouvent Lowhhrick et Mathus. Ce dernier a en effet pu rafistoler 1 speeder avec les 2 épaves. Nos compagnons repartent avec le Qubaz en direction de la civilisation. Certes, il s’agit du palais de Jabba the Hutt. En chemin, Thweek révèle ce qu’il sait. Il n’est pas celui qu’ils prenaient pour l’espion et qui travaille pour Teemo. Il s’agirait d’un Bith s'appelant Cool Banjax Wab et ferait parti d’un groupe renommé : Cool Banjax Wab et les mortifiés.
Cool Banjax Wab
Arrivé sur place, nous devons rembourser le speeder qu’Annata nous avait prêté et nous sommes dans l’obligation de laisser notre speeder en dépôt. Nous prenons connaissance des prochaines représentations des « Cool Banjax Wab et les mortifiés » et apprenons qu’ils se donneront en spectacle chez un gouverneur de l’empire sur une petite lune, sur un vaisseau pirate et sur Trandosha, la planète des ennemis jurés des Wookies.Nous prenons la décision d’agir au plus vite. Après quelques recherches effectuées par Mathus, nous décidons de nous faire passer pour le « First Order » en tournée exceptionnelle dans le système.
Notre groupe se compose :
Pash : chanteur et guitariste
Mathus : bassiste
Lazarock : batteur
Oskara : choriste
R5.42: ingénieur son
Une maquette est envoyée au secrétariat du gouverneur pour faire la première partie du groupe du Bith. Mathus ressemble à s’y méprendre au bassiste du dît groupe. La réponse ne se fait pas attendre et des invitations nous sont envoyées.
Nous prenons donc la direction de Fudila avec notre vaisseau qui a été réparé. Arrivé sur place et quelques bakchichs pour faire oublier que nous sommes en possession d’un fusil blaster Geonosien considéré comme illégale nous sommes amenés dans notre suite en attendant le début de notre prestation.
Nous rencontrons notre première fan en la personne de la fille du gouverneur. Elle doit avoir une quinzaine d’année et vient timidement dans notre chambre pour demander à Mathus un autographe et un selfie.
Nous avons demandé à rencontrer Bith et son groupe avant notre prestation histoire de régler 2, 3 détails.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
[youtube]VpbyERclD2I[/youtube]
Rare vidéo de Llowhrick en pleines répétitions
Rare vidéo de Llowhrick en pleines répétitions
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
C'est ton cousin Lazarock ?
[youtube]hPiCGVCi3RI[/youtube]
[youtube]hPiCGVCi3RI[/youtube]
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Je crois que je n’ai plus été aussi excité que depuis où nous avons été poursuivis par ce gros vers de terre dans le désert.
C’était quand même une sacrée course ! Obligé de faire le ravitaillement de notre poursuivant pour qu’on ne le distance pas trop vite
Mais aujourd’hui, c’est le jour où le First Order, notre groupe de glam-rock-ie, va faire son premier concert. Oh, ça me fait penser au concert guttural de Nagtobuck à la naissance de son fil, qu’est-ce que nous avions bu !
L’heure tourne, et nous devons aller nous préparer.
Tandis que Mathus et moi, sérieux, allons faire les balances, accompagnés de R5, Oskara et Pash vont pour discuter avec le groupe qui nous a donné notre chance, voir avec eux quelle ambiance conviendrait le mieux, accompagnés de la fille du gouverneur, grande fan de nous sans même que nous n’ayons joués ! Je pense qu’une démo d’enregistrement a dû fuiter sur l’holonet et qu’elle est tombée sous le charme du flow de notre groupe, incarné -entre autres- par Mathus dont elle a pu récupérer un autographe.
Arrivés dans la salle de notre consécration future, nous tombons sur l’ingénieur son de la soirée.
Je ne comprends pas grand-chose à ce qu’il dit, c’est donc Mathus qui s’occupe de lui expliquer notre grandeur, pendant que je monte la batterie selon les standards wookie.
Visiblement ils n’arrivent pas à tomber d’accord, je pense que cet arriéré a été pistonné et ne connait rien à l’Art.
Apparemment, cet humanoïde, qui ne nous connait même pas, se croit être plus en capacités de suivre notre vibe que notre fidèle compagnon, ami de toujours, droïde.
Alors que le ton monte un peu, Mathus se branche à l’enceinte pour commencer ses balances, tandis que R5 commence à se connecter aux platines pour montrer ce qu’il sait faire.
Je ne sais pas si le matériel était de mauvaise qualité ou si c’est l’ingénieur qui l’a fait exprès, mais soudain tout s’est éteint !
Mathus ne faisait plus de son, plus de lumière dans la salle sauf celles de R5 (brave droïde), et heureusement que j’étais habité par la puissance créatrice si chère à nous, wookie, pour dédramatiser de la situation.
Soudain, des storm-trooper arrivent pour s’enquérir de la situation et..
MAIS LACHEZ LE !
Ces incapables arrêtent R5 sans même voir que le vrai fautif, c’est l’autre incompétent !
Ne t’en fais pas R5, nous viendrons te chercher. On n’abandonne pas un vaillant compagnon, fusse-t-il un droïde !
Enragés, agacés, nous demandons à machin si son installation défectueuse serait réparée pour notre concert.
Celui-ci, agacé (à qui la faute ?) nous répond qu’il n’est pas certain de pouvoir réparer les dégâts d’ici la fin de journée.
Mathus suggère alors d’aller retrouver nos compagnons… qui apparaissent sur le pas de la porte au moment où nous sortons !
Ils nous expliquent des choses, compliquées, mais une chose est sûre, le groupe de Cool Banjax Wab est cool.
Quant à nous, il faut que nous allions chercher de quoi packer nos instruments pour les remplacer par du matériel secondaire, afin de s’assurer que nous n’ayons pas de problème lors du concert.
Nous voilà donc partis en direction du hangar pour récupérer des grosses caisses de transport.
Sur le chemin du retour, Pash, Oskara et Mathus ont une brillante idée, aller prévenir le groupe qui nous suit de l’incident !
Arrivés devant leur loge, nous leur expliquons la situation et outrés, plusieurs membres du groupe partent chercher leur matériel afin d’éviter qu’il ne soit abîmé par machin.
Prétextant une envie pressante, Oskara pénètre dans la loge de nos amis et se rapproche de leur chanteuse, commence à discuter et me fait un signe discret de poing sur la nuque.
Oooooooh, je connais ce signe ! Ça ça veut dire « assomme la mais ne lui brise pas la nuque, elle est sympa et franchement ça se fait pas on est pas des barbares ».
Ni une ni deux, un taquet bien placé et la petite dame s’effondre, en silence.
Un des musiciens est dans leur cuisine, et une seconde après que Pash ait passé la tête pour entamer à son tour la discussion, « le temps que notre amie n’ait fini sa commission », un coup de blaster paralysant se fait entendre. Un Merr-Sonn DL-44, pour être précis.
Nous toquons à la porte des cabinets, fermée, mais aucune réponse ne se fait entendre.
Un coup de blaster bien pensé, et la porte s’ouvre.
Personne !
Oskara a le réflexe de vérifier le placard et qui voici qui apparaît devant nous ?
Un bith, recroquevillé sur lui-même, apeuré !
Tentant de prendre la fuite, j’ai heureusement le temps de me mettre dans l’encadrure de la porte pour… bah qu’il n’y en ait plus.
Un autre coup de DL-44 et hop, Cool Gambass est dans les vapes.
Afin de rendre la scène plus crédible, nous déshabillons les membres de son groupe et les mettons bras dessus/bras dessous dans le lit, tandis que nous empruntons les draps pour dissimuler Cool Wombat dans la caisse de transport.
Le travail est propre, bien fait, et si la fouille n’est pas faite par un expert, aucune chance qu’il ne soit trouvé.
Je suis tout de même perplexe. Certes, ils étaient le groupe principal, la crainte qu’ils éclipsent notre performance planait sur nous, mais tout de même, nous sommes meilleurs qu’eux ! On a même répété quoi… 3h cette semaine ? De quoi avons-nous peur ?
Mais soit, je peux comprendre la neutralisation mais même si on ne cesse de me répéter que tuer c’est mal, on ne m’enlèvera pas de l’idée que les tuer aurait été plus simple qu’en assommer 2 et en kidnapper un.
Alors que nous allons pour récupérer des amplis de rechange, nous sommes fouillés par des storm-trooper au poste de garde.
Quelques banalités sont échangées et on va me prendre pour un fou furieux, mais je jurerai avoir vu un halo de lumière autour de son casque quelques secondes avant qu’il ne découvre le corps assoupi (et nu) de Cool Wakanda.
L’alerte est sonnée, les armes dégainées.
Un coup de blaster passe à côté de moi, Pash vient d’en mettre un au sol et…
Dites moi que je rêve… IL EST MORT
OUIIIIIIIIIIIIII MERCI PASH MERCIIIIIIIII
Oskara rétorque et en abat un autre, tandis que je fond sur les deux restants histoire de leur faire des « câlins » wookie.
Mathus assure nos arrières et ferme la porte blindée derrière nous tandis que celle devant nous se ferme, pilotée par les gardes dans leur poste blindé.
Mathus, informaticien de génie, arrive à entrouvrir suffisamment la porte afin que nous puissions sortir un à un, mais nous entendons des gardes arriver de chaque côté du couloir sur lequel donne le poste de contrôle.
A peine sortie, Oskara se prend une méchante balle du côté droit.
On ose toucher à Oskara ?
Je rugis et fonce dans le couloir, m’abritant des feux nourris dès que possible, avançant par étape, prudemment.
Un coup de blaster rebondi sur mes poils durcis par ma rage de vaincre, un autre me fait une petite entaille sur le flanc tandis que je m’élance sur ces faquins.
Mais c’est bien mon coup de poing qui fera le plus de dégâts : 1 coup, 1 mort (parfois 2), je frappe les uns avec des bouts des autres, ouvrant la voie de ce côté, tandis que Pash et Oskara, habiles tireurs, déciment l’autre groupe d’assaillant.
La voie est maintenant libre, nous commençons à fuir vers notre vaisseau quand Mathus s’exclame :
« Mais, et R5 ? »
R qui ?
C’était quand même une sacrée course ! Obligé de faire le ravitaillement de notre poursuivant pour qu’on ne le distance pas trop vite
Mais aujourd’hui, c’est le jour où le First Order, notre groupe de glam-rock-ie, va faire son premier concert. Oh, ça me fait penser au concert guttural de Nagtobuck à la naissance de son fil, qu’est-ce que nous avions bu !
L’heure tourne, et nous devons aller nous préparer.
Tandis que Mathus et moi, sérieux, allons faire les balances, accompagnés de R5, Oskara et Pash vont pour discuter avec le groupe qui nous a donné notre chance, voir avec eux quelle ambiance conviendrait le mieux, accompagnés de la fille du gouverneur, grande fan de nous sans même que nous n’ayons joués ! Je pense qu’une démo d’enregistrement a dû fuiter sur l’holonet et qu’elle est tombée sous le charme du flow de notre groupe, incarné -entre autres- par Mathus dont elle a pu récupérer un autographe.
Arrivés dans la salle de notre consécration future, nous tombons sur l’ingénieur son de la soirée.
Je ne comprends pas grand-chose à ce qu’il dit, c’est donc Mathus qui s’occupe de lui expliquer notre grandeur, pendant que je monte la batterie selon les standards wookie.
Visiblement ils n’arrivent pas à tomber d’accord, je pense que cet arriéré a été pistonné et ne connait rien à l’Art.
Apparemment, cet humanoïde, qui ne nous connait même pas, se croit être plus en capacités de suivre notre vibe que notre fidèle compagnon, ami de toujours, droïde.
Alors que le ton monte un peu, Mathus se branche à l’enceinte pour commencer ses balances, tandis que R5 commence à se connecter aux platines pour montrer ce qu’il sait faire.
Je ne sais pas si le matériel était de mauvaise qualité ou si c’est l’ingénieur qui l’a fait exprès, mais soudain tout s’est éteint !
Mathus ne faisait plus de son, plus de lumière dans la salle sauf celles de R5 (brave droïde), et heureusement que j’étais habité par la puissance créatrice si chère à nous, wookie, pour dédramatiser de la situation.
Soudain, des storm-trooper arrivent pour s’enquérir de la situation et..
MAIS LACHEZ LE !
Ces incapables arrêtent R5 sans même voir que le vrai fautif, c’est l’autre incompétent !
Ne t’en fais pas R5, nous viendrons te chercher. On n’abandonne pas un vaillant compagnon, fusse-t-il un droïde !
Enragés, agacés, nous demandons à machin si son installation défectueuse serait réparée pour notre concert.
Celui-ci, agacé (à qui la faute ?) nous répond qu’il n’est pas certain de pouvoir réparer les dégâts d’ici la fin de journée.
Mathus suggère alors d’aller retrouver nos compagnons… qui apparaissent sur le pas de la porte au moment où nous sortons !
Ils nous expliquent des choses, compliquées, mais une chose est sûre, le groupe de Cool Banjax Wab est cool.
Quant à nous, il faut que nous allions chercher de quoi packer nos instruments pour les remplacer par du matériel secondaire, afin de s’assurer que nous n’ayons pas de problème lors du concert.
Nous voilà donc partis en direction du hangar pour récupérer des grosses caisses de transport.
Sur le chemin du retour, Pash, Oskara et Mathus ont une brillante idée, aller prévenir le groupe qui nous suit de l’incident !
Arrivés devant leur loge, nous leur expliquons la situation et outrés, plusieurs membres du groupe partent chercher leur matériel afin d’éviter qu’il ne soit abîmé par machin.
Prétextant une envie pressante, Oskara pénètre dans la loge de nos amis et se rapproche de leur chanteuse, commence à discuter et me fait un signe discret de poing sur la nuque.
Oooooooh, je connais ce signe ! Ça ça veut dire « assomme la mais ne lui brise pas la nuque, elle est sympa et franchement ça se fait pas on est pas des barbares ».
Ni une ni deux, un taquet bien placé et la petite dame s’effondre, en silence.
Un des musiciens est dans leur cuisine, et une seconde après que Pash ait passé la tête pour entamer à son tour la discussion, « le temps que notre amie n’ait fini sa commission », un coup de blaster paralysant se fait entendre. Un Merr-Sonn DL-44, pour être précis.
Nous toquons à la porte des cabinets, fermée, mais aucune réponse ne se fait entendre.
Un coup de blaster bien pensé, et la porte s’ouvre.
Personne !
Oskara a le réflexe de vérifier le placard et qui voici qui apparaît devant nous ?
Un bith, recroquevillé sur lui-même, apeuré !
Tentant de prendre la fuite, j’ai heureusement le temps de me mettre dans l’encadrure de la porte pour… bah qu’il n’y en ait plus.
Un autre coup de DL-44 et hop, Cool Gambass est dans les vapes.
Afin de rendre la scène plus crédible, nous déshabillons les membres de son groupe et les mettons bras dessus/bras dessous dans le lit, tandis que nous empruntons les draps pour dissimuler Cool Wombat dans la caisse de transport.
Le travail est propre, bien fait, et si la fouille n’est pas faite par un expert, aucune chance qu’il ne soit trouvé.
Je suis tout de même perplexe. Certes, ils étaient le groupe principal, la crainte qu’ils éclipsent notre performance planait sur nous, mais tout de même, nous sommes meilleurs qu’eux ! On a même répété quoi… 3h cette semaine ? De quoi avons-nous peur ?
Mais soit, je peux comprendre la neutralisation mais même si on ne cesse de me répéter que tuer c’est mal, on ne m’enlèvera pas de l’idée que les tuer aurait été plus simple qu’en assommer 2 et en kidnapper un.
Alors que nous allons pour récupérer des amplis de rechange, nous sommes fouillés par des storm-trooper au poste de garde.
Quelques banalités sont échangées et on va me prendre pour un fou furieux, mais je jurerai avoir vu un halo de lumière autour de son casque quelques secondes avant qu’il ne découvre le corps assoupi (et nu) de Cool Wakanda.
L’alerte est sonnée, les armes dégainées.
Un coup de blaster passe à côté de moi, Pash vient d’en mettre un au sol et…
Dites moi que je rêve… IL EST MORT
OUIIIIIIIIIIIIII MERCI PASH MERCIIIIIIIII
Oskara rétorque et en abat un autre, tandis que je fond sur les deux restants histoire de leur faire des « câlins » wookie.
Mathus assure nos arrières et ferme la porte blindée derrière nous tandis que celle devant nous se ferme, pilotée par les gardes dans leur poste blindé.
Mathus, informaticien de génie, arrive à entrouvrir suffisamment la porte afin que nous puissions sortir un à un, mais nous entendons des gardes arriver de chaque côté du couloir sur lequel donne le poste de contrôle.
A peine sortie, Oskara se prend une méchante balle du côté droit.
On ose toucher à Oskara ?
Je rugis et fonce dans le couloir, m’abritant des feux nourris dès que possible, avançant par étape, prudemment.
Un coup de blaster rebondi sur mes poils durcis par ma rage de vaincre, un autre me fait une petite entaille sur le flanc tandis que je m’élance sur ces faquins.
Mais c’est bien mon coup de poing qui fera le plus de dégâts : 1 coup, 1 mort (parfois 2), je frappe les uns avec des bouts des autres, ouvrant la voie de ce côté, tandis que Pash et Oskara, habiles tireurs, déciment l’autre groupe d’assaillant.
La voie est maintenant libre, nous commençons à fuir vers notre vaisseau quand Mathus s’exclame :
« Mais, et R5 ? »
R qui ?
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Qui s’est dit que ce serai une bonne idée de prendre d’assaut un base impériale ?
Pour être tout à fait honnête, ça se passai plutôt bien, jusqu’à ce que tout parte à volo, en même temps la sécurité est un peu plus renforcée que chez l’autre limace, toujours est-il que votre serviteur a réussi sans réelles difficultés a contourner les défenses informatiques de la base cette fois, c’était presque trop facile.
Cette fois, Oscara a pris les commandes(la barre ? le volant ?), et après avoir fait les frais d’un rayon tracteur, nous avons fait les frais d’une conduite bien plus …. sportive que celle de Pash, le rase-motte en vaisseau cargo n’est pas une chose à laquelle j’aurai aimé participer, encore moins quand des tourelles de défense tentent de nous faire exploser, cependant elles devaient être opérées par des stormtrooper en formation, car non content de nous rater complètement, elles ont été victime de leur propre feu croisé.
La conduite un peu rude d’Oscara a l’air de bien nous réussir, bien qu’ayant été pris en chasse par 8 TIE Fighter(sérieusement, je sais qu’ils sont pas chers mais c’est pas une raison pour en envoyer autant), Oscara a entrepris de les semer dans un réseau de ravins, sur les parois desquels certains sont allés s’emplafonner(ma parole on a attaqué un centre de formation ou quoi ? le concert c’était pour leur bal de promo ?), le reste tombant comme des mouches sous le feu nourri de Pash(privilégiant la qualité sur la quantité) et Lowhrick(privilégiant l’application d’une trop grande force sur les commandes de tir), les impériaux abandonnant la poursuite, nous sommes rentrés sur Tatooine avec notre colis et un vaisseau en bon état(toutes proportions gardées), mais sans R5, le vaisseau va paraitre bien vide sans lui.
Une fois de plus, la cupidité de Pash l’a emporté sur son bon sens, et il a arrangé un coup avec Rikoh, le bessalisk du groupe de Ban’jax Wab, 20000 crédits dans une valise, dans une cantina sur Ryloth, en faisant passer ça à Anata pour un coup de filet pour attraper des complices, mais je pense pas que le toydarien soit tombé dans le panneau, il a aussi pu négocier une avance sous forme d’une amélioration pour le vaisseau, un système de visé moins pourri. On a aussi appris que le palais de Teemo avait été vidé suite à son « départ à la retraite », une grosse pile de déchets en tous genres, on a trouvé des trucs plutôt intéressants, un fusil de sniper weekay, des armes de gladiateur wookie, une caisse de booster blue(quel esprit dérangé s’est dit que sniffer de la peinture serai une bonne idée ?) une cuve à bacta fonctionnelle et trois pit droid, ils ne remplaceront pas R5 mais Eeny, Meeny et Miny seront sans aucun doute utiles (quand à savoir comment…)
En amont de notre arrivé sur Ryloth, j’ai eu le nez creux et ai demandé à Bur’a Ban de surveiller les allées et venues suspecte, en particulier des impériaux, heureusement car il semble que l’empire soit a la recherche d’une bande de dangereux lunatique qui ont tué plusieurs de leurs hommes et abattu plusieurs TIE cette semaine, oups, voilà qui va compliquer notre affaire, mais pas de panique, j’ai un plan, après avoir brouillé leurs communication et créé un distraction, nous enfumerons l’intérieur de la cantina, Lowhrick assommera Rikoh, de préférence pas trop fort, et nous nous enfuirons par les égouts avec la mallette, qui est sans aucun doute muni d’un traceur(si sa continu comme ça je vais commencer un collection), reste maintenant à savoir si le plan se déroulera sans accrocs.
Pour être tout à fait honnête, ça se passai plutôt bien, jusqu’à ce que tout parte à volo, en même temps la sécurité est un peu plus renforcée que chez l’autre limace, toujours est-il que votre serviteur a réussi sans réelles difficultés a contourner les défenses informatiques de la base cette fois, c’était presque trop facile.
Cette fois, Oscara a pris les commandes(la barre ? le volant ?), et après avoir fait les frais d’un rayon tracteur, nous avons fait les frais d’une conduite bien plus …. sportive que celle de Pash, le rase-motte en vaisseau cargo n’est pas une chose à laquelle j’aurai aimé participer, encore moins quand des tourelles de défense tentent de nous faire exploser, cependant elles devaient être opérées par des stormtrooper en formation, car non content de nous rater complètement, elles ont été victime de leur propre feu croisé.
La conduite un peu rude d’Oscara a l’air de bien nous réussir, bien qu’ayant été pris en chasse par 8 TIE Fighter(sérieusement, je sais qu’ils sont pas chers mais c’est pas une raison pour en envoyer autant), Oscara a entrepris de les semer dans un réseau de ravins, sur les parois desquels certains sont allés s’emplafonner(ma parole on a attaqué un centre de formation ou quoi ? le concert c’était pour leur bal de promo ?), le reste tombant comme des mouches sous le feu nourri de Pash(privilégiant la qualité sur la quantité) et Lowhrick(privilégiant l’application d’une trop grande force sur les commandes de tir), les impériaux abandonnant la poursuite, nous sommes rentrés sur Tatooine avec notre colis et un vaisseau en bon état(toutes proportions gardées), mais sans R5, le vaisseau va paraitre bien vide sans lui.
Une fois de plus, la cupidité de Pash l’a emporté sur son bon sens, et il a arrangé un coup avec Rikoh, le bessalisk du groupe de Ban’jax Wab, 20000 crédits dans une valise, dans une cantina sur Ryloth, en faisant passer ça à Anata pour un coup de filet pour attraper des complices, mais je pense pas que le toydarien soit tombé dans le panneau, il a aussi pu négocier une avance sous forme d’une amélioration pour le vaisseau, un système de visé moins pourri. On a aussi appris que le palais de Teemo avait été vidé suite à son « départ à la retraite », une grosse pile de déchets en tous genres, on a trouvé des trucs plutôt intéressants, un fusil de sniper weekay, des armes de gladiateur wookie, une caisse de booster blue(quel esprit dérangé s’est dit que sniffer de la peinture serai une bonne idée ?) une cuve à bacta fonctionnelle et trois pit droid, ils ne remplaceront pas R5 mais Eeny, Meeny et Miny seront sans aucun doute utiles (quand à savoir comment…)
En amont de notre arrivé sur Ryloth, j’ai eu le nez creux et ai demandé à Bur’a Ban de surveiller les allées et venues suspecte, en particulier des impériaux, heureusement car il semble que l’empire soit a la recherche d’une bande de dangereux lunatique qui ont tué plusieurs de leurs hommes et abattu plusieurs TIE cette semaine, oups, voilà qui va compliquer notre affaire, mais pas de panique, j’ai un plan, après avoir brouillé leurs communication et créé un distraction, nous enfumerons l’intérieur de la cantina, Lowhrick assommera Rikoh, de préférence pas trop fort, et nous nous enfuirons par les égouts avec la mallette, qui est sans aucun doute muni d’un traceur(si sa continu comme ça je vais commencer un collection), reste maintenant à savoir si le plan se déroulera sans accrocs.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Résumé de la 10eme session :
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Llowhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Force est de constater et je pense que mes compagnons ne me contrediront pas mais notre équipe repousse les limites de l’immoralité un peu plus chaque jour.
Les informations recueillies auprès de Bur’a Ban nous ont permis d’apprendre que deux navettes Lambda ont atterri hier sur l’astroport déversant une quarantaine de stormtroopers.
Navette de classe T-4a Lambda
La reconnaissance que j’effectue permet au groupe d’apprendre qu’un besalisk est présent à l’intérieur de l’enceinte de la base impériale. Partant sur le principe qu’il s’agit de Rikoh, le plan consistant à récupérer le besalisk et la mallette devant contenir 20k crédits est maintenu.
Llowhrick et Mathus passeront par les égouts pour entrer dans la cantina, Pash fera diversion aux abords de l’infâme bouiboui et je couvrirai la rue avec mon nouveau joujou.
Weequay blaster lance
En attendant l’heure du rendez-vous, notre ingénieur fou confectionne avec 2-3 bouts de ficelles, une pile et d’autres bidules électroniques ce qu’il nous explique être un brouilleur. Quant à moi, je me trouve un spot à plus de 2 kilomètres de la cantina me permettant d’avoir la rue en ligne de mire.
Les minutes passent et une petite demi-heure avant le rancard, 3 humains un peu trop propres sur eux entrent dans la cantina et en ressortent 5 minutes plus tard.
Dans les égouts, Mathus et Llowhrick progressent mais la corpulence du wookie ne lui permet pas d’atteindre le conduit qui mène aux cuisines de la cantina. Il s’en retourne et fait le tour par l’extérieur. Notre techos active son brouilleur et plonge le quartier dans le silence radio.
A 11h55, Ricoh le besalisk se pointe dans la rue avec une mallette. Il ressort quelques minutes plus tard les mains vides mais arrivé devant la porte d’une maison, Oskara trouve étrange son comportement. Elle expliquera plus tard, qu’il avait fait comme un signe.
Midi sonne et tout s’enchaîne très vite : Au loin retentie une explosion. C’est Pash qui donne le signal. La bavure a été évité de justesse car une famille de rodhiens stationnait près du Land speeder qui est parti en fumée. En observant le besalisk repartir, je remarque quelque chose de suspect dans son comportement et appuie sur la gachette de mon weequay blaster lance. Ricoh s’écroule en beuglant, la rotule droite explosée. C’est la panique dans la rue.
De la porte surgissent quatre stormtroopers qui sont accueillis par une salve de mon fusil. Le seul survivant retourne dans la maison qu’il venait de quitter.
Mathus gagne la cuisine par des égouts et passe derrière un cuistot rastafari trop occupé à écouter sa musique.
Cuistot rastafari
Dans la rue, un Llowhrick très calme croise un besalisk qui se roule de douleur au sol, il le met sur son épaule puis rentre dans la cantina. La clientèle ne semble guère impressionnée par l’arrivée du wookie portant la créature à quatre bras et retourne à ses préoccupations. Llowhrick lâche un «HHHhuuhohhoouuoww-oohoouhuuww, oohoouooo hhhoohhuu hoouhhuho hhoohuhoouhhuhhwhh ww! ww! ww!» et pose son fardeau sur une table.
Mathus repère la mallette posée comme demandé sous la 3eme table près du bar et s’en empare. Il l’ouvre mais un bip fortement équivoque réveille en lui un sursaut survivaliste lui faisant jeter l’attaché-case par dessus le le bar.
Le barman est touché par l’explosion et s’écroule. Mathus pris de remords lui applique un stimpack. Quatre stormtroppers surgissent d’on ne sait pas où et commencent à arroser mes deux compagnons qui décident de prendre la fuite. Mais le barman reprend du poil de la bête et active la fermeture à distance de la porte pour empêcher la sortie de mes équipiers. Mathus s’indigne « Comme quoi, vraiment tout le monde est ingrat envers Mathus. » et s’évertue à cracker la porte de la cantina qui ne lui résiste que quelques secondes. Llowhrick sort et s’élance dans la rue sur sa gauche. Notre mécano quant à lui part sur la droite suivi par les quatre impériaux.
Notre wookie réalisant qu’il ne suit pas le plan que nous avions établi revient sur ses pas. Il est sur les talons des gardes qui se retournent et lui font face. Calmement Llowhrick pose le besalisk et appuyé par mes tirs se débarrasse des gêneurs puis reprend son paquet.
Mais au loin le bruit caractéristique d’un AT-ST se fait entendre et notre boule de poils commence à zigzaguer en prenant les ruelles qui s’offrent à lui.
AT-ST
Pendant ce temps Pash regagne le landspeeder suivi de près par Mathus et moi. Une chasse au Llowhrick est lancée dans la ville et quelques minutes plus tard, le précieux wookie est retrouvé et l’équipage décide de filer au plus vite vers l’astroport. L’AT-ST semble s’être perdu en route.
L’arrivée au hangar où est stationné de notre vaisseau se passe sans encombre outre les deux droïds de sécurité qui nous ratent lamentablement.
Droïd de sécurité
Là où ça cloche ; c’est que la rampe d’accès du RAS (Rien à Signaler) ne veut pas descendre et qu’une vingtaine de stormtroopers sur les passerelles au-dessus de nous nous intiment l’ordre de nous rendre. Une tourelle laser est mise en batterie.
Mathus s’affaire à ouvrir mécaniquement une trappe ce qui provoque l’assaut des boites de conserve qui descendent en rappel des passerelles et tirent. Blessés, nous ripostons et éliminons la première vague de huit. Notre ménaco réussi enfin à ouvrir la trappe et s’évertue à remettre un peu de jus dans le RAS. Pash prend position à la tourelle ventrale et volatise 4 bucket head. A la tourelle dorsale, je réduis au silence la batterie laser.
Pash nous fait décoller mais nous sommes pris en chasse par les deux navettes Lambda dont nous a parlé Bur’a Ban. Pash qui est aux commandes se débrouille plutôt bien. Llowhrick et moi parvenons à nous débarrasser des deux T-4a.
Nous pouvons désormais regagner Tatoïne et toucher notre prime pour avoir ramené le besalisk vivant.
YT-1300 (Rien à Signaler)
Je savais que la cuve à bacta allait être utile mais avec Llowhrick il va falloir changer les filtres très souvent.
Cuve à bacta
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Llowhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Force est de constater et je pense que mes compagnons ne me contrediront pas mais notre équipe repousse les limites de l’immoralité un peu plus chaque jour.
Les informations recueillies auprès de Bur’a Ban nous ont permis d’apprendre que deux navettes Lambda ont atterri hier sur l’astroport déversant une quarantaine de stormtroopers.
Navette de classe T-4a Lambda
La reconnaissance que j’effectue permet au groupe d’apprendre qu’un besalisk est présent à l’intérieur de l’enceinte de la base impériale. Partant sur le principe qu’il s’agit de Rikoh, le plan consistant à récupérer le besalisk et la mallette devant contenir 20k crédits est maintenu.
Llowhrick et Mathus passeront par les égouts pour entrer dans la cantina, Pash fera diversion aux abords de l’infâme bouiboui et je couvrirai la rue avec mon nouveau joujou.
Weequay blaster lance
En attendant l’heure du rendez-vous, notre ingénieur fou confectionne avec 2-3 bouts de ficelles, une pile et d’autres bidules électroniques ce qu’il nous explique être un brouilleur. Quant à moi, je me trouve un spot à plus de 2 kilomètres de la cantina me permettant d’avoir la rue en ligne de mire.
Les minutes passent et une petite demi-heure avant le rancard, 3 humains un peu trop propres sur eux entrent dans la cantina et en ressortent 5 minutes plus tard.
Dans les égouts, Mathus et Llowhrick progressent mais la corpulence du wookie ne lui permet pas d’atteindre le conduit qui mène aux cuisines de la cantina. Il s’en retourne et fait le tour par l’extérieur. Notre techos active son brouilleur et plonge le quartier dans le silence radio.
A 11h55, Ricoh le besalisk se pointe dans la rue avec une mallette. Il ressort quelques minutes plus tard les mains vides mais arrivé devant la porte d’une maison, Oskara trouve étrange son comportement. Elle expliquera plus tard, qu’il avait fait comme un signe.
Midi sonne et tout s’enchaîne très vite : Au loin retentie une explosion. C’est Pash qui donne le signal. La bavure a été évité de justesse car une famille de rodhiens stationnait près du Land speeder qui est parti en fumée. En observant le besalisk repartir, je remarque quelque chose de suspect dans son comportement et appuie sur la gachette de mon weequay blaster lance. Ricoh s’écroule en beuglant, la rotule droite explosée. C’est la panique dans la rue.
De la porte surgissent quatre stormtroopers qui sont accueillis par une salve de mon fusil. Le seul survivant retourne dans la maison qu’il venait de quitter.
Mathus gagne la cuisine par des égouts et passe derrière un cuistot rastafari trop occupé à écouter sa musique.
Cuistot rastafari
Dans la rue, un Llowhrick très calme croise un besalisk qui se roule de douleur au sol, il le met sur son épaule puis rentre dans la cantina. La clientèle ne semble guère impressionnée par l’arrivée du wookie portant la créature à quatre bras et retourne à ses préoccupations. Llowhrick lâche un «HHHhuuhohhoouuoww-oohoouhuuww, oohoouooo hhhoohhuu hoouhhuho hhoohuhoouhhuhhwhh ww! ww! ww!» et pose son fardeau sur une table.
Mathus repère la mallette posée comme demandé sous la 3eme table près du bar et s’en empare. Il l’ouvre mais un bip fortement équivoque réveille en lui un sursaut survivaliste lui faisant jeter l’attaché-case par dessus le le bar.
Le barman est touché par l’explosion et s’écroule. Mathus pris de remords lui applique un stimpack. Quatre stormtroppers surgissent d’on ne sait pas où et commencent à arroser mes deux compagnons qui décident de prendre la fuite. Mais le barman reprend du poil de la bête et active la fermeture à distance de la porte pour empêcher la sortie de mes équipiers. Mathus s’indigne « Comme quoi, vraiment tout le monde est ingrat envers Mathus. » et s’évertue à cracker la porte de la cantina qui ne lui résiste que quelques secondes. Llowhrick sort et s’élance dans la rue sur sa gauche. Notre mécano quant à lui part sur la droite suivi par les quatre impériaux.
Notre wookie réalisant qu’il ne suit pas le plan que nous avions établi revient sur ses pas. Il est sur les talons des gardes qui se retournent et lui font face. Calmement Llowhrick pose le besalisk et appuyé par mes tirs se débarrasse des gêneurs puis reprend son paquet.
Mais au loin le bruit caractéristique d’un AT-ST se fait entendre et notre boule de poils commence à zigzaguer en prenant les ruelles qui s’offrent à lui.
AT-ST
Pendant ce temps Pash regagne le landspeeder suivi de près par Mathus et moi. Une chasse au Llowhrick est lancée dans la ville et quelques minutes plus tard, le précieux wookie est retrouvé et l’équipage décide de filer au plus vite vers l’astroport. L’AT-ST semble s’être perdu en route.
L’arrivée au hangar où est stationné de notre vaisseau se passe sans encombre outre les deux droïds de sécurité qui nous ratent lamentablement.
Droïd de sécurité
Là où ça cloche ; c’est que la rampe d’accès du RAS (Rien à Signaler) ne veut pas descendre et qu’une vingtaine de stormtroopers sur les passerelles au-dessus de nous nous intiment l’ordre de nous rendre. Une tourelle laser est mise en batterie.
Mathus s’affaire à ouvrir mécaniquement une trappe ce qui provoque l’assaut des boites de conserve qui descendent en rappel des passerelles et tirent. Blessés, nous ripostons et éliminons la première vague de huit. Notre ménaco réussi enfin à ouvrir la trappe et s’évertue à remettre un peu de jus dans le RAS. Pash prend position à la tourelle ventrale et volatise 4 bucket head. A la tourelle dorsale, je réduis au silence la batterie laser.
Pash nous fait décoller mais nous sommes pris en chasse par les deux navettes Lambda dont nous a parlé Bur’a Ban. Pash qui est aux commandes se débrouille plutôt bien. Llowhrick et moi parvenons à nous débarrasser des deux T-4a.
Nous pouvons désormais regagner Tatoïne et toucher notre prime pour avoir ramené le besalisk vivant.
YT-1300 (Rien à Signaler)
Je savais que la cuve à bacta allait être utile mais avec Llowhrick il va falloir changer les filtres très souvent.
Cuve à bacta
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
[left]Vous savez ce qu’on dit sur Jabba ? Que c’est lui qui décide quand on a payé nos dettes ? Faut croire que le mollusque sait en jouer, parce que Anata nous a fait part de son offre, une offre difficile à refuser, effacer notre dette si on lui ramène un type qui lui doit encore plus que nous, le hic c’est que le type en question n’est autre que Han Solo, un correlien au vaisseau plus pourri que le notre (en apparence du moins) et flanqué d’un wookie un peu moins bourrin que le notre (et apparemment bien meilleur copilote, ce qui n’est pas très difficile) qui a fait le raid de Kessel en seulement 12 parsec, autant dire que si on doit l’attraper, mieux vaut le faire quand il a pied à terre.
Plus ça va plus je m’inquiète de la moralité douteuse de mes partenaires d’infortune, et douteuse est un euphémisme, je pense que Teemo avait plus d’état d’âme pour ses droides qu’Oscara et Lowrick pour leurs victimes, à propos de ça, en faisant un tour par la cantina, un mec a accosté Oscara pour un job de chasseur de prime, à l’entendre ça ressemblait plus à une exécution qu’à autre chose, aller buter le vieux Hoover parce que c’est « une raclure d’esclavagiste », un vieillard aveugle et grabataire tremperait dans ce genre de trafic ? peu probable, toujours est-il qu’Oscara n’a pas hésité une seconde a perforer son crane d’un tir de blaster quand il nous a cordialement envoyé bouler, et Lowrick n’a pas eu le moindre remord à arracher les langues des membres de sa famille pour « pas qu’ils parlent », après avoir mis notre employeur au mitard, employeur qui a jugé judicieux de tenté de la faire à l’envers à ces deux (trois si on compte le sens des affaire carnassier de Pash) gros malades, qui ont ensuite débattu longuement sur la manière de s’occuper de notre invité (les suggestions allant de la mise en orbite à la mise en esclavage) avant qu’on le laisse partir, notre argent en poche(probablement plus dans celles de Pash que les miennes).
Pendant le voyage, j’ai entendu Lowrick et Oscara faire des bruits bizarre dans la soute, j’ai essayé de les ignorer, mais c’est compliqué de souder quand vous avez l’impression que quelqu’un jette une serpillière trempée sur le mur à coté de vous toutes les 30 secondes.
Nous nous sommes ensuite dirigé vers Symuun 1, une lune sans intérêt d’une géante gazeuse sans intérêt, hormis le fait que dans quelques jours, d’après les infos « fiables » d’Anata, notre cible viendrait récupérer une cargaison pour l’Alliance Rebelle(apparemment le type s’est trouvé une conscience et une cause) dans une station abandonnée de la ceinture de débris qui entoure la lune, on s’est d’ailleurs fait accoster par des ferrailleurs qui gagnent leur croûte en pillant les épaves(les ordures des uns…) alors qu’on parcourait les champs de débris à la recherche d’un lieu propice à l’échange de marchandise, d’après nos informations, l’échange se ferait sans rencontre entre les deux parties, l’un laissant la cargaison à un endroit prédéterminé, et l’autre la récupérant quelques jours plus tard. On a donc déduit que la meilleure solution était de trouver le lieu de dépôt et d’embusquer le corellien… deux stations visitées et une trentaine de mynoch plus tard(si je devient empereur, je fais exterminer ces saletés), Pash a trouvé des marquages caractéristiques d’un lieu d’échange de contrebandiers(perso j’ai vu des marques de disqueuse, mais tant qu’il parle pas d’argent, je lui fais confiance), je m’attelle donc à préparer l’embuscade, vu que personne d’autre n’a l’air de se préoccuper des senseurs de notre cible, une fois notre vaisseau invisible aux senseurs, chacun vaque à ses occupations.
Ok, il semblerait que j’ai fait une petite erreur de calcul en camouflant le vaisseau, car un autre ferrailleur nous a trouvé assez vite, nous accostant nous demandant qu’est-ce qu’on faisant dans une baie d’amarrage d’une épave de station avec notre transpondeur éteint, leurs soupçons se sont vite dissipé quand nous leurs avons expliqué que notre réservoir de gaz tibanna montrait des signes de faiblesse, et que nous serions prêt a en acheter un si ils en avaient. Accompagné de Pash, histoire que cette affaire ne nous ruine pas(plus), je suis monté dans le vaisseau pour faire affaire, quand soudain, Oscara nous dit qu’un missile arrive et se découple du vaisseau, laissant le pilote et le mécano en plan pendant qu’elle va tenter de d’éviter un missile, emphase sur tenter, car il semblerait qu’un FireSpray ait fait une passe sur le vaisseau, il est tant de voir si mon petit projet va être utile.
[/left]
Plus ça va plus je m’inquiète de la moralité douteuse de mes partenaires d’infortune, et douteuse est un euphémisme, je pense que Teemo avait plus d’état d’âme pour ses droides qu’Oscara et Lowrick pour leurs victimes, à propos de ça, en faisant un tour par la cantina, un mec a accosté Oscara pour un job de chasseur de prime, à l’entendre ça ressemblait plus à une exécution qu’à autre chose, aller buter le vieux Hoover parce que c’est « une raclure d’esclavagiste », un vieillard aveugle et grabataire tremperait dans ce genre de trafic ? peu probable, toujours est-il qu’Oscara n’a pas hésité une seconde a perforer son crane d’un tir de blaster quand il nous a cordialement envoyé bouler, et Lowrick n’a pas eu le moindre remord à arracher les langues des membres de sa famille pour « pas qu’ils parlent », après avoir mis notre employeur au mitard, employeur qui a jugé judicieux de tenté de la faire à l’envers à ces deux (trois si on compte le sens des affaire carnassier de Pash) gros malades, qui ont ensuite débattu longuement sur la manière de s’occuper de notre invité (les suggestions allant de la mise en orbite à la mise en esclavage) avant qu’on le laisse partir, notre argent en poche(probablement plus dans celles de Pash que les miennes).
Pendant le voyage, j’ai entendu Lowrick et Oscara faire des bruits bizarre dans la soute, j’ai essayé de les ignorer, mais c’est compliqué de souder quand vous avez l’impression que quelqu’un jette une serpillière trempée sur le mur à coté de vous toutes les 30 secondes.
Nous nous sommes ensuite dirigé vers Symuun 1, une lune sans intérêt d’une géante gazeuse sans intérêt, hormis le fait que dans quelques jours, d’après les infos « fiables » d’Anata, notre cible viendrait récupérer une cargaison pour l’Alliance Rebelle(apparemment le type s’est trouvé une conscience et une cause) dans une station abandonnée de la ceinture de débris qui entoure la lune, on s’est d’ailleurs fait accoster par des ferrailleurs qui gagnent leur croûte en pillant les épaves(les ordures des uns…) alors qu’on parcourait les champs de débris à la recherche d’un lieu propice à l’échange de marchandise, d’après nos informations, l’échange se ferait sans rencontre entre les deux parties, l’un laissant la cargaison à un endroit prédéterminé, et l’autre la récupérant quelques jours plus tard. On a donc déduit que la meilleure solution était de trouver le lieu de dépôt et d’embusquer le corellien… deux stations visitées et une trentaine de mynoch plus tard(si je devient empereur, je fais exterminer ces saletés), Pash a trouvé des marquages caractéristiques d’un lieu d’échange de contrebandiers(perso j’ai vu des marques de disqueuse, mais tant qu’il parle pas d’argent, je lui fais confiance), je m’attelle donc à préparer l’embuscade, vu que personne d’autre n’a l’air de se préoccuper des senseurs de notre cible, une fois notre vaisseau invisible aux senseurs, chacun vaque à ses occupations.
Ok, il semblerait que j’ai fait une petite erreur de calcul en camouflant le vaisseau, car un autre ferrailleur nous a trouvé assez vite, nous accostant nous demandant qu’est-ce qu’on faisant dans une baie d’amarrage d’une épave de station avec notre transpondeur éteint, leurs soupçons se sont vite dissipé quand nous leurs avons expliqué que notre réservoir de gaz tibanna montrait des signes de faiblesse, et que nous serions prêt a en acheter un si ils en avaient. Accompagné de Pash, histoire que cette affaire ne nous ruine pas(plus), je suis monté dans le vaisseau pour faire affaire, quand soudain, Oscara nous dit qu’un missile arrive et se découple du vaisseau, laissant le pilote et le mécano en plan pendant qu’elle va tenter de d’éviter un missile, emphase sur tenter, car il semblerait qu’un FireSpray ait fait une passe sur le vaisseau, il est tant de voir si mon petit projet va être utile.
[/left]Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Bon, nous voilà dans de beaux draps, le FireSpray a bien failli nous descendre, enfin surtout ceux qui étaient dans le vaisseau, mais finalement, c'est Pash qui pour une fois nous a montré qu'il savait négocier autre chose que des plans foireux, parce qu'il se trouve que le RAS ressemble à s'y méprendre avec un certain vaisseau d'un certain contrebandier recherché dans tout l'espace Hutt et au-delà, et qu'il est à la même position supposée que ledit vaisseau, d'où une certaine confusion de la part de Yum-ka, un dug à qui Pash l'a faite à l'envers, oui encore un, qui nous a pris pour le Millenium Falcon. Une fois le malentendu dissipé, il nous a laissé en plan avec une épave à peine capable de garder son oxygène, en même temps, je m'attend pas à ce que des types qui mangent avec leurs pieds connaissent les bonnes manières, à ce qu'il paraît y'en a un qui a tenté de dézinguer un gamin pendant une course de pod une fois, mais ça lui a pas réussi.
Donc après des réparations sommaires, nous allons vers Simuun 1, utilisant l'état déplorable du RAS pour couper la longue file de vaisseaux qui attendent d'atterrir.
Les mécanos du garage où on s'est posé on l'air de savoir ce qu'ils font, mais ça va encore nous coûter, en plus, le bouclier nous a lâché, mais ça je vais le faire moi-même, je les connais les tarifs d"amis" pour réparer un bouclier défaillant qui finisse par un remplacement complet et un endettement sur plusieurs générations, mais avec les deux tarés, je sais pas si je vivrai assez longtemps.
Le problème des chasseurs de prime, surtout d'Oscara et Lowrick en fait, c'est que ça boit, et pas n'importe où, en fait si mais là ils voulaient pas, et c'est comme ça que je me suis retrouvé dans une cantina miteuse entouré d'une vieille connaissance et de ses potes, Seelo, le rodien qui nous avait amené devant Jabba la première fois, m'a fait comprendre que si on tentait de lui voler sa proie, on était mort, les autres ont eu l'air de passer un meilleur moment, entre Pash qui avait l'air d'avoir gagné gros, un Lowrick un peu éméché et Oscara qui sentait la poubelle avec son air de tueuse en série, au moins j'ai eu la confirmation que Han Solo était probablement sur cette planète, et les rumeurs glanées par Oscara et Pash, en plus d'une clé de vaisseau, ont fini de confirmé le tout.
Une fois rentré sur le RAS, Oscara à voulu interroger sa dernière prise, un gran clodo du nom de "Labrylla le roi des rues", et s'est arrangée un rendez-vous avec lui, après un début laborieux, il nous a appris que Han était à la recherche d'un injecteur d'hypercarburant, et que la seule capable de lui fournir est une itorienne nommée Slagphatt, la pêche aux infos a cependant tourné court quand trois de types ont demandé le gran en nous pointant avec leurs blasters.
Donc après des réparations sommaires, nous allons vers Simuun 1, utilisant l'état déplorable du RAS pour couper la longue file de vaisseaux qui attendent d'atterrir.
Les mécanos du garage où on s'est posé on l'air de savoir ce qu'ils font, mais ça va encore nous coûter, en plus, le bouclier nous a lâché, mais ça je vais le faire moi-même, je les connais les tarifs d"amis" pour réparer un bouclier défaillant qui finisse par un remplacement complet et un endettement sur plusieurs générations, mais avec les deux tarés, je sais pas si je vivrai assez longtemps.
Le problème des chasseurs de prime, surtout d'Oscara et Lowrick en fait, c'est que ça boit, et pas n'importe où, en fait si mais là ils voulaient pas, et c'est comme ça que je me suis retrouvé dans une cantina miteuse entouré d'une vieille connaissance et de ses potes, Seelo, le rodien qui nous avait amené devant Jabba la première fois, m'a fait comprendre que si on tentait de lui voler sa proie, on était mort, les autres ont eu l'air de passer un meilleur moment, entre Pash qui avait l'air d'avoir gagné gros, un Lowrick un peu éméché et Oscara qui sentait la poubelle avec son air de tueuse en série, au moins j'ai eu la confirmation que Han Solo était probablement sur cette planète, et les rumeurs glanées par Oscara et Pash, en plus d'une clé de vaisseau, ont fini de confirmé le tout.
Une fois rentré sur le RAS, Oscara à voulu interroger sa dernière prise, un gran clodo du nom de "Labrylla le roi des rues", et s'est arrangée un rendez-vous avec lui, après un début laborieux, il nous a appris que Han était à la recherche d'un injecteur d'hypercarburant, et que la seule capable de lui fournir est une itorienne nommée Slagphatt, la pêche aux infos a cependant tourné court quand trois de types ont demandé le gran en nous pointant avec leurs blasters.
Modifié en dernier par okinawak le mer. 19 févr. 2020 17:27, modifié 1 fois.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
"J'ai accompagné Oskara à son rendez-vous galant avec ... le "Roi des Claudo" comme elle l'appelle, elle doit être timide, ça n'est pas souvent qu'on l'invite à un rendez-vous nocturne.
Et puis, ce "Claudo", ce doit être quelqu'un d'important, après tout, c'est un roi !
Arrivé dans une ruelle sombre, on aborde un petit être, un gran, pas très beau en plus, même pour un gran. J'imagine que c'est le chauffeur du roi des Claudo.
Alors que nous insistons fortement pour qu'il nous mène à son Roi, le pauvre hère, certainement sous le choc d'une mission d'une si grande importance, se met à baragouiner quelque chose à propos d'une reine qui aurait ce qu'on cherche, cachée dans les égoûts ... Une reine ? Mais je ne comprends plus rien, Oskara devait pourtant rejoindre un roi ! Tout est si compliqué, c'est énervant.
Mais heureusement, alors que ma tête commençait à taper dur, de charmantes personnes nous ont interpellées, ayant visiblement des affaires à régler avec Claudo.
J'ai tenté gentiment de leur expliquer que, premiers arrivés, premiers servis, mais voilà que les rustres ont commencé à nous tirer dessus ! Oskara a bien tenté de les intimider en hurlant " SERPILLERE", mais il ne s'est pas passé grand chose.
Qu'à cela ne tienne, Pash et Mathus, qui nous avaient suivi de loin, ont dégommé les assaillants, et laissé un de ces rats fuir par les égouts.
Dans un éclair de lucidité, un des vil gredins (le clan des Richy, à tous les coups) est fait prisonnier, et alors que nous allions poliment lui demander quelles affaires il avait avec Claudo, sa tête a explosé.
Je savais bien que je n'étais pas le seul à qui il faisait mal au crâne ! AH !
Tiens d'ailleurs, où est-il ce rigolo ?
Oh, des menottes roses, celles qu'Oskara cache sans le double fond de sa malle... Mais alors... Attendez, c'est lui le Roi ?
Mais c'est pas un Claudo, c'est un clodo ! Et il s'appelle Labrylla, le roi des rues ? Attendez, c'est lui l'informateur qui devait nous amener sur la piste d'Han
Mais tout s'explique alors, c'était pas un rendez-vous galant... Et c'est pour ça qu'il pue autant ! Moi qui pensait que c'était le lot de toutes les créatures de son genre...
Alors que je me calme à l'écart, aidant Pash à ramasser les armes traînantes ci et là, Oskara arrive à négocier une entrevue avec la Reine, qui apparemment n'est pas commode.
Ça tombe bien, Ryyk non plus n'est pas commode !
Grâce à ses talents de persuasion (j'ai aussi cru entendre les gants de Mathus s'allumer), Oskara arrive à convaincre le "roi" de nous guider dans le dédale des égoûts, pour une entrevue avec la Reine.
On apprend au passage que les deux sont fâchés, à tous les coups ce sont d'anciens amants et ils se sont fâchés parce que la Reine était trop bien pour lui... pas trop dur en même temps
Arrivés pas très loin de l'entrée du palais de la Reine, Mathus décide de "sécuriser" notre vaisseau le temps de l'entrevue, pendant que le roi décide de nous attendre.
La porte est gigantesque !
On pousse, on tire mais rien n'y fait, elle reste inviolable.
Mathus fait chauffer le pad mais rien n'y fait, cette porte nous résiste.
Il aura fallu l'intelligence et la dextérité d'un être supérieur pour faire glisser la porte, ouvrant ainsi le passage.
Rentrant discrètement, il ne semble pas y avoir âme qui vive.
Des bibelots traînent ci et là, pendus au plafond, mais personne à l'horizon.
Dans le doute, je ferme la porte à l'aide de cales, on est jamais trop prudent.
Au centre, une grande stèle.
Oskara remarque qu'en fait, c'est un fauteuil... vu de dos, tout se ressemble de toutes façons
Faisant le tour suite à la surprise de mes camarades, je m'attendais à voir quelques immondices, mais OH MON DIEU
Qu'est-ce que c'est que cette limace ! Enfin si, je sais, c'est un (une?) Ithorian, j'en ai affronté plusieurs quand je bossais pour Teemo, mais dans quel état elle est !
Transpercée de part en part, même le vieil esclavagiste avait meilleure mine après le tir d'Oskara
Alors que nous étudions un peu mieux la topologie (l'Ithorian n'étant plus de ce monde, pas de risque de fuite) et plus particulièrement un conduit au plafond dont quelques bruits résonnent en écho, j'entends Oska' hurler "SERPILLERE" une nouvelle fois et cette fois-ci ... mais... MAIS JE DECOLLE !
Alors que je suis perdu dans les ténèbres, j'entends un grondement sourd s'approcher à grande vitesse.
Mes poils se hérissent soudain... "de l'eau !"
Ni une ni deux, j'agrippe mon bouclier et commence à tenter de repousser l'immense vague à la seule force de mes bras.
Ah il s'en est fallu de peu, mais la masse était trop grande, me forçant à redescendre à grande vitesse et je n'ai seulement réussi qu'à surfer le temps de rejoindre une corniche que j'avais manquée en montant. Le pilier d'eau continue sa chute et je l'entends s'écraser plus bas, mes compagnons paniquant au rythme de l'eau qui monte.
A quelques pas de moi, un terminal.
"Concentre toi, Mathus l'a fait des dizaines de fois devant toi, s'il y arrive toi aussi tu peux le faire" me suis-je dit à ce moment.
*CRANK*
... Foutu camelote ! Encore un coup des Trandoshans !
Alors que je frappe, dans le doute, le terminal, j'entends des pas dans le dédale, comme si on m'invitait à trouver une solution par là bas.
De toutes façons, l'eau ne semblait pas vouloir s'arrêter de couler et j'avais déjà conclu qu'elle était impossible à raisonner. Et puis comme mes camarades ne m'appellent pas sur le comlink, c'est que tout doit être sous contrôle. Ils ne seraient quand même pas en train de se noyer, ahahah
Alors que je rattrapais peu à peu trois drôles de personnes dans le couloir creusé dans la roche, ces derniers refusent de m'obéir quand je leur demande poliment de s'arrêter afin que l'on puisse parler.
Peut-être que si je n'avais pas sorti ma lame ils m'auraient écouté ? Je ne sais pas, Mathus m'a montré une vidéo sur son pad où les gens courent plus vite quand ils ont un couteau dans la main... J'ai voulu essayer !
Je décide donc de jouer à chat avec eux.
Hop, une tête qui vole, les deux autres tentent de me tirer dessus, réussissant à me décoiffer !
La colère m'emporte, alors que j'entends quelqu'un monter par là où je suis arrivé, je bloque un des deux derniers contre un mur et d'un revers j'envoie voler sa tête contre celle du dernier, au sol.
Trainant tranquillement les cadavres (et l'otage) jusqu'à mon point de départ, je vois Mathus et Pash trempés, Oskara n'est pas là.
Mais qu'est-ce qui s'est passé en bas ?
Et puis, ce "Claudo", ce doit être quelqu'un d'important, après tout, c'est un roi !
Arrivé dans une ruelle sombre, on aborde un petit être, un gran, pas très beau en plus, même pour un gran. J'imagine que c'est le chauffeur du roi des Claudo.
Alors que nous insistons fortement pour qu'il nous mène à son Roi, le pauvre hère, certainement sous le choc d'une mission d'une si grande importance, se met à baragouiner quelque chose à propos d'une reine qui aurait ce qu'on cherche, cachée dans les égoûts ... Une reine ? Mais je ne comprends plus rien, Oskara devait pourtant rejoindre un roi ! Tout est si compliqué, c'est énervant.
Mais heureusement, alors que ma tête commençait à taper dur, de charmantes personnes nous ont interpellées, ayant visiblement des affaires à régler avec Claudo.
J'ai tenté gentiment de leur expliquer que, premiers arrivés, premiers servis, mais voilà que les rustres ont commencé à nous tirer dessus ! Oskara a bien tenté de les intimider en hurlant " SERPILLERE", mais il ne s'est pas passé grand chose.
Qu'à cela ne tienne, Pash et Mathus, qui nous avaient suivi de loin, ont dégommé les assaillants, et laissé un de ces rats fuir par les égouts.
Dans un éclair de lucidité, un des vil gredins (le clan des Richy, à tous les coups) est fait prisonnier, et alors que nous allions poliment lui demander quelles affaires il avait avec Claudo, sa tête a explosé.
Je savais bien que je n'étais pas le seul à qui il faisait mal au crâne ! AH !
Tiens d'ailleurs, où est-il ce rigolo ?
Oh, des menottes roses, celles qu'Oskara cache sans le double fond de sa malle... Mais alors... Attendez, c'est lui le Roi ?
Mais c'est pas un Claudo, c'est un clodo ! Et il s'appelle Labrylla, le roi des rues ? Attendez, c'est lui l'informateur qui devait nous amener sur la piste d'Han
Mais tout s'explique alors, c'était pas un rendez-vous galant... Et c'est pour ça qu'il pue autant ! Moi qui pensait que c'était le lot de toutes les créatures de son genre...
Alors que je me calme à l'écart, aidant Pash à ramasser les armes traînantes ci et là, Oskara arrive à négocier une entrevue avec la Reine, qui apparemment n'est pas commode.
Ça tombe bien, Ryyk non plus n'est pas commode !
Grâce à ses talents de persuasion (j'ai aussi cru entendre les gants de Mathus s'allumer), Oskara arrive à convaincre le "roi" de nous guider dans le dédale des égoûts, pour une entrevue avec la Reine.
On apprend au passage que les deux sont fâchés, à tous les coups ce sont d'anciens amants et ils se sont fâchés parce que la Reine était trop bien pour lui... pas trop dur en même temps
Arrivés pas très loin de l'entrée du palais de la Reine, Mathus décide de "sécuriser" notre vaisseau le temps de l'entrevue, pendant que le roi décide de nous attendre.
La porte est gigantesque !
On pousse, on tire mais rien n'y fait, elle reste inviolable.
Mathus fait chauffer le pad mais rien n'y fait, cette porte nous résiste.
Il aura fallu l'intelligence et la dextérité d'un être supérieur pour faire glisser la porte, ouvrant ainsi le passage.
Rentrant discrètement, il ne semble pas y avoir âme qui vive.
Des bibelots traînent ci et là, pendus au plafond, mais personne à l'horizon.
Dans le doute, je ferme la porte à l'aide de cales, on est jamais trop prudent.
Au centre, une grande stèle.
Oskara remarque qu'en fait, c'est un fauteuil... vu de dos, tout se ressemble de toutes façons
Faisant le tour suite à la surprise de mes camarades, je m'attendais à voir quelques immondices, mais OH MON DIEU
Qu'est-ce que c'est que cette limace ! Enfin si, je sais, c'est un (une?) Ithorian, j'en ai affronté plusieurs quand je bossais pour Teemo, mais dans quel état elle est !
Transpercée de part en part, même le vieil esclavagiste avait meilleure mine après le tir d'Oskara
Alors que nous étudions un peu mieux la topologie (l'Ithorian n'étant plus de ce monde, pas de risque de fuite) et plus particulièrement un conduit au plafond dont quelques bruits résonnent en écho, j'entends Oska' hurler "SERPILLERE" une nouvelle fois et cette fois-ci ... mais... MAIS JE DECOLLE !
Alors que je suis perdu dans les ténèbres, j'entends un grondement sourd s'approcher à grande vitesse.
Mes poils se hérissent soudain... "de l'eau !"
Ni une ni deux, j'agrippe mon bouclier et commence à tenter de repousser l'immense vague à la seule force de mes bras.
Ah il s'en est fallu de peu, mais la masse était trop grande, me forçant à redescendre à grande vitesse et je n'ai seulement réussi qu'à surfer le temps de rejoindre une corniche que j'avais manquée en montant. Le pilier d'eau continue sa chute et je l'entends s'écraser plus bas, mes compagnons paniquant au rythme de l'eau qui monte.
A quelques pas de moi, un terminal.
"Concentre toi, Mathus l'a fait des dizaines de fois devant toi, s'il y arrive toi aussi tu peux le faire" me suis-je dit à ce moment.
*CRANK*
... Foutu camelote ! Encore un coup des Trandoshans !
Alors que je frappe, dans le doute, le terminal, j'entends des pas dans le dédale, comme si on m'invitait à trouver une solution par là bas.
De toutes façons, l'eau ne semblait pas vouloir s'arrêter de couler et j'avais déjà conclu qu'elle était impossible à raisonner. Et puis comme mes camarades ne m'appellent pas sur le comlink, c'est que tout doit être sous contrôle. Ils ne seraient quand même pas en train de se noyer, ahahah
Alors que je rattrapais peu à peu trois drôles de personnes dans le couloir creusé dans la roche, ces derniers refusent de m'obéir quand je leur demande poliment de s'arrêter afin que l'on puisse parler.
Peut-être que si je n'avais pas sorti ma lame ils m'auraient écouté ? Je ne sais pas, Mathus m'a montré une vidéo sur son pad où les gens courent plus vite quand ils ont un couteau dans la main... J'ai voulu essayer !
Je décide donc de jouer à chat avec eux.
Hop, une tête qui vole, les deux autres tentent de me tirer dessus, réussissant à me décoiffer !
La colère m'emporte, alors que j'entends quelqu'un monter par là où je suis arrivé, je bloque un des deux derniers contre un mur et d'un revers j'envoie voler sa tête contre celle du dernier, au sol.
Trainant tranquillement les cadavres (et l'otage) jusqu'à mon point de départ, je vois Mathus et Pash trempés, Oskara n'est pas là.
Mais qu'est-ce qui s'est passé en bas ?
Modifié en dernier par Lazarock le jeu. 20 févr. 2020 09:00, modifié 1 fois.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
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Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Pardon ?
Non mais tu as bien lu ce que tu viens de marquer ?
ça c'est passé comme ça, déconne pas non plus
OK, peut être que le *zap zap* était un peu plus stylé mais ... pfff c'est bon tu vas pas en faire une tome de Savoie
Non mais tu as bien lu ce que tu viens de marquer ?
ça c'est passé comme ça, déconne pas non plus
OK, peut être que le *zap zap* était un peu plus stylé mais ... pfff c'est bon tu vas pas en faire une tome de Savoie
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Saheyus
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Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Sujet déplacé vers la section "L'organisation et les résumés des parties" qui est plus adaptée.
MJ toujours ouvert aux collaborations, prêts de matériels, discussions ou demandes de parties.
Expérience en : D&D 3, L'Anneau Unique, le Trône de Fer, Warhammer Fantasy, Warrior Poet, L'Appel de Cthulhu, Vampires, Warhammer 40K, Polaris...
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Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
okinawak a écrit :Bon,
Quand Jabba te propose d'effacer ta dette, c'est presque plus simple de juste payer.
Il nous a embauché pour lui ramener Han, qui l'a apparemment entubé, je sais pas qui est le plus barré des deux, celui qui la met à l'envers à Jabba, ou celui qui espère choper Han "la course de Kessel en 12 parsec" Solo avant la chute de l'Empire.
Après l'avoir vu se tirer sous notre nez grace à l'intervention de la bonne force de maintient de l'ordre Impérial, nous voici en route vers Bor 2, planète dont la seule fonction semble être de servir d'affectation disciplinaire pour les garde-chiourmes de la prison. Apparemment, l'endroit est un désert de glace et la seule forme de civilisation du système est ce club de vacances pour bagnards et brigadiers.
Pendant les deux semaines de trajet, impossible de se mettre d'accord sur un plan, ça allait du très raisonnable "imposture de l'équipe de réparation", au suicidaire "peut-être qu'en demandant gentiment" en passant par le prévisible "BOUM PAF KRAK BOUM", devinez qui l'a proposé... si bien qu'on est arrivé dans le système sans aucune idée de quoi faire, déjà que quand on a un plan ça se passe mal ...
Arrivés dans le système, ya un truc qui cloche, personne ! On devrait pourtant être en orbite autour d'un bagne impérial, ya pas moyens qu'ils nous laissent sortir d'hyperespace comme ça sans venir nous demander nos papiers, du coup ni une ni deux, je fonce aux capteur, et je déniche un petit signal de détresse qui semble venir de la prison, on est des citoyens respectables, nous, monsieur, quand on capte un appel à l'aide, on vole au secours des infortunés.
Une fois atterri, c'est un carnage, on dirait un raid de l'Empire, ce serait marrant tient, des carcasses de navettes, d'AT-ST, et même de stormtroopers, pendant que Pash était occupé à leurs piquer leurs dents en or, on a commencé à explorer l'endroit avec Low, et franchement, on se serait cru pendant la guerre des clones : tout qui brule, des cadavres partout, et des trous dans tout ce qui pouvait servir à se défendre, on a fini par trouver une salle de contrôle, dans laquelle l'ordinateur central m'a explosé à la gueule avant que je me fasse sauter dessus par deux bestioles poilues, elles m'ont un peu gnaqué, mais Low les a découpées.
Au cours de l'exploration, on est tombé sur les quartiers des impériaux, avec d'autres saletés à poils longs, mais Low s'en est chargé, et j'ai fini par trouver l'armurerie de la base, maitre Pash par l'odeur alléché a rappliquer au quart de tour pour embarquer tout ce qui n'était pas riveté sur place. Pendant ce temps, Osca s'est retrouvé nez-à-nez avec les habitants de l'endroit, qui avaient pas l'air de savoir comment il fallait nous accueillir, mais on a vite tiré ça au clair, on a ensuite eu le fin mot de l'histoire, des esclavagistes ont lancé un raid sur la prison pour s'emparer de la "marchandise" avec, bien sûr, notre chère cible, après un petit tour dans la salle de com' et une derniere ronde pour n'oublier personne, on s'est retrouvé devant un petit problème.
Bon ok "petit", c'est assez éloigné de la réalité, entre nous et le RAS, un bestiau presque aussi gros qu'un chasseur, et très énervé (ou affamé, on a jamais eu l'occasion de demander) qui avait pas l'air disposé à nous laisser passer, et avec nos compagnons impériaux pas très chaud pour charger, j'ai dû faire chauffer les méninges.
Et ben croyez-moi, croyez-moi pas, un AT-ST fonctionne très bien même avec la moitié du cockpit arraché, après un lui avoir balancé une torpille improvisée, mon nouveau joujou c'est mis en branle, et c'était GÉNIAL !!! jusqu'à ce qu'Oscara décide de se faire imprimer sur la coque du RAS par la bête.
Rappelez-moi de jamais énerver Lowhhrick...
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Bon,
Quand Jabba te propose d'effacer ta dette, c'est presque plus simple de juste payer.
Il nous a embauché pour lui ramener Han, qui l'a apparemment entubé, je sais pas qui est le plus barré des deux, celui qui la met à l'envers à Jabba, ou celui qui espère choper Han "la course de Kessel en 12 parsec" Solo avant la chute de l'Empire.
Après l'avoir vu se tirer sous notre nez grâce à l'intervention de la bonne force de maintient de l'ordre Impérial, nous voici en route vers Bor 2, planète dont la seule fonction semble être de servir d'affectation disciplinaire pour les garde-chiourmes de la prison. Apparemment, l'endroit est un désert de glace et la seule forme de civilisation du système est ce club de vacances pour bagnards et brigadiers.
Pendant les deux semaines de trajet, impossible de se mettre d'accord sur un plan, ça allait du très raisonnable "imposture de l'équipe de réparation", au suicidaire "peut-être qu'en demandant gentiment" en passant par le prévisible "BOUM PAF KRAK BOUM", devinez qui l'a proposé... si bien qu'on est arrivé dans le système sans aucune idée de quoi faire, déjà que quand on a un plan ça se passe mal ...
Arrivés dans le système, ya un truc qui cloche, personne ! On devrait pourtant être en orbite autour d'un bagne impérial, ya pas moyens qu'ils nous laissent sortir d'hyperespace comme ça sans venir nous demander nos papiers, du coup ni une ni deux, je fonce aux capteurs, et je déniche un petit signal de détresse qui semble venir de la prison, on est des citoyens respectables, nous, monsieur, quand on capte un appel à l'aide, on vole au secours des infortunés.
Une fois atterri, c'est un carnage, on dirait un raid de l'Empire, ce serait marrant tient, des carcasses de navettes, d'AT-ST, et même de stormtroopers, pendant que Pash était occupé à leurs piquer leurs dents en or, on a commencé à explorer l'endroit avec Low, et franchement, on se serait cru pendant la guerre des clones : tout qui brule, des cadavres partout, et des trous dans tout ce qui pouvait servir à se défendre, on a fini par trouver une salle de contrôle, dans laquelle l'ordinateur central m'a explosé à la gueule avant que je me fasse sauter dessus par deux bestioles poilues, elles m'ont un peu gnaqué, mais Low les a découpées.
Au cours de l'exploration, on est tombé sur les quartiers des impériaux, avec d'autres saletés à poils longs, mais Low s'en est chargé, et j'ai fini par trouver l'armurerie de la base, maitre Pash par l'odeur alléché a rappliqué au quart de tour pour embarquer tout ce qui n'était pas riveté sur place. Pendant ce temps, Osca s'est retrouvée nez-à-nez avec les habitants de l'endroit, qui avaient pas l'air de savoir comment il fallait nous accueillir, mais on a vite tiré ça au clair, on a ensuite eu le fin mot de l'histoire, des esclavagistes ont lancé un raid sur la prison pour s'emparer de la "marchandise" avec, bien sûr, notre chère cible, après un petit tour dans la salle de com' et une dernière ronde pour n'oublier personne, on s'est retrouvé devant un petit problème.
Bon ok "petit", c'est assez éloigné de la réalité, entre nous et le RAS, un bestiau presque aussi gros qu'un chasseur, et très énervé (ou affamé, on a jamais eu l'occasion de demander) qui avait pas l'air disposé à nous laisser passer, et avec nos compagnons impériaux pas très chaud pour charger, j'ai dû faire chauffer les méninges.
Et ben croyez-moi, croyez-moi pas, un AT-ST fonctionne très bien même avec la moitié du cockpit arrachée, après lui avoir balancé une torpille improvisée, mon nouveau joujou s'est mis en branle, et c'était GÉNIAL !!! jusqu'à ce qu'Oscara décide de se faire imprimer sur la coque du RAS par la bête.
Rappelez-moi de jamais énerver Lowhhrick...
Quand Jabba te propose d'effacer ta dette, c'est presque plus simple de juste payer.
Il nous a embauché pour lui ramener Han, qui l'a apparemment entubé, je sais pas qui est le plus barré des deux, celui qui la met à l'envers à Jabba, ou celui qui espère choper Han "la course de Kessel en 12 parsec" Solo avant la chute de l'Empire.
Après l'avoir vu se tirer sous notre nez grâce à l'intervention de la bonne force de maintient de l'ordre Impérial, nous voici en route vers Bor 2, planète dont la seule fonction semble être de servir d'affectation disciplinaire pour les garde-chiourmes de la prison. Apparemment, l'endroit est un désert de glace et la seule forme de civilisation du système est ce club de vacances pour bagnards et brigadiers.
Pendant les deux semaines de trajet, impossible de se mettre d'accord sur un plan, ça allait du très raisonnable "imposture de l'équipe de réparation", au suicidaire "peut-être qu'en demandant gentiment" en passant par le prévisible "BOUM PAF KRAK BOUM", devinez qui l'a proposé... si bien qu'on est arrivé dans le système sans aucune idée de quoi faire, déjà que quand on a un plan ça se passe mal ...
Arrivés dans le système, ya un truc qui cloche, personne ! On devrait pourtant être en orbite autour d'un bagne impérial, ya pas moyens qu'ils nous laissent sortir d'hyperespace comme ça sans venir nous demander nos papiers, du coup ni une ni deux, je fonce aux capteurs, et je déniche un petit signal de détresse qui semble venir de la prison, on est des citoyens respectables, nous, monsieur, quand on capte un appel à l'aide, on vole au secours des infortunés.
Une fois atterri, c'est un carnage, on dirait un raid de l'Empire, ce serait marrant tient, des carcasses de navettes, d'AT-ST, et même de stormtroopers, pendant que Pash était occupé à leurs piquer leurs dents en or, on a commencé à explorer l'endroit avec Low, et franchement, on se serait cru pendant la guerre des clones : tout qui brule, des cadavres partout, et des trous dans tout ce qui pouvait servir à se défendre, on a fini par trouver une salle de contrôle, dans laquelle l'ordinateur central m'a explosé à la gueule avant que je me fasse sauter dessus par deux bestioles poilues, elles m'ont un peu gnaqué, mais Low les a découpées.
Au cours de l'exploration, on est tombé sur les quartiers des impériaux, avec d'autres saletés à poils longs, mais Low s'en est chargé, et j'ai fini par trouver l'armurerie de la base, maitre Pash par l'odeur alléché a rappliqué au quart de tour pour embarquer tout ce qui n'était pas riveté sur place. Pendant ce temps, Osca s'est retrouvée nez-à-nez avec les habitants de l'endroit, qui avaient pas l'air de savoir comment il fallait nous accueillir, mais on a vite tiré ça au clair, on a ensuite eu le fin mot de l'histoire, des esclavagistes ont lancé un raid sur la prison pour s'emparer de la "marchandise" avec, bien sûr, notre chère cible, après un petit tour dans la salle de com' et une dernière ronde pour n'oublier personne, on s'est retrouvé devant un petit problème.
Bon ok "petit", c'est assez éloigné de la réalité, entre nous et le RAS, un bestiau presque aussi gros qu'un chasseur, et très énervé (ou affamé, on a jamais eu l'occasion de demander) qui avait pas l'air disposé à nous laisser passer, et avec nos compagnons impériaux pas très chaud pour charger, j'ai dû faire chauffer les méninges.
Et ben croyez-moi, croyez-moi pas, un AT-ST fonctionne très bien même avec la moitié du cockpit arrachée, après lui avoir balancé une torpille improvisée, mon nouveau joujou s'est mis en branle, et c'était GÉNIAL !!! jusqu'à ce qu'Oscara décide de se faire imprimer sur la coque du RAS par la bête.
Rappelez-moi de jamais énerver Lowhhrick...
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Résumé de la 16eme ( ?) session :
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Llowhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Nous quittons la base pénitentiaire à bord du R.A.S avec la quinzaine de storm trooper que nous avons sauvé. De concert, nous prenons la décision de les déposer sur la plus proche base impériale. Le commandant souhaitant que nous fassions un rapport au colonel de la base sur leur sauvetage, nous ne pouvons déroger à sa requête au risque de passer pour louches. Mathus leurs explique que nous passions dans le coin pour aller récupérer de la feraille et que nous nous sommes déroutés lorsque nous avons capté l’appel de détresse.
Il me semble que Pash n’a pas été très convainquant mais cela passe et nous pouvons regagner notre vaisseau sans être inquiétés. Du coin de l’œil j’aperçois le colonel de la base s’entretenir avec Mathus. Il lui a même souri. Etrange. Lors de l’exploration de la base pénitentiaire, Mathus avait trouvé dans l’un des ordinateurs que les 3 frégates étaient reparties vers un champ d’astéroïdes sur la bordure extérieur. Nous allons donc suivre cette piste. Arrivée sur place, nous nous posons sur un astéroïde afin de scruter les ondes ou déplacements de vaisseaux dans le secteur. 3 heures plus tard, rien. Nous décidons donc d’aller voir un peu plus loin mais lorsque nous remettons les gaz, nous tombons nez à nez avec 3 chasseurs pirate que nous n’avions pas détecté.
En infériorité numérique ; les pourparlers s’engagent et décidons de jouer cartes sur table en leurs annonçant que nous avons une information capitale pour la survie de leur base pirate. Nous sommes donc sommés de les suivre et atteignons un immense astéroïde hébergeant une base.
Après nous être posés , nous sommes accueillis sur le tarmac par une étrange créature. Il s’agit d’un jawa mécanisé qui se nomme Scrapjaw
Pash lui explique que dans une cantina, nous avons surpris une conversation entre officiers impériaux. « Une base pénitentiaire aurait été attaquée et l’empire se préparerait en représailles à faire une descente lourdement armée dans le secteur ». Nous ne faisions que les avertir car comme eux, nous ne portons pas l’empire dans notre cœur. « Et c’est mauvais pour les affaires ». Oskara tente également d’argumenter mais Scrapjaw ne lui porte aucun intérêt. Le jawa semble nous croire et au détour de la conversation Pash lâche le fait que nous sommes à la recherche de main d’œuvre humaine pour une ferme sur Tatoïne. Nous accompagnons la créature dans une section de la base où sont stockés les esclaves par centaines. Nulle trace de Han Solo.
Quelque peu déçus nous allons au tripot de la station qui ressemble beaucoup à un cloaque.
Pendant ce temps, Mathus est parti visiter la station. Au détour d’une borne informatique dans le secteur des mécanos, il s’y connecte et apprend que seulement 2 des 3 frégates sont arrivées à la station ; la 3eme ayant disparu sur le trajet. Mais son intrusion n’est pas passée inaperçu et des alarmes sonnent. Notre ingénieur parvient néanmoins à se faufiler entre les gardes et à retourner tranquillement au vaisseau où Oskara l’attend.
Dans le cloaque Pash quand à lui rencontre le Capitaine Gideon qui est le chef de cette base.
Il a pour animal de compagnie une espèce de bestioles très moche et avec une gueule bien fournie en dents.
Les deux hommes semblent néanmoins se connaître. Il s’avère que Pash devait épouser la sœur du Devaronien mais aurait fuit ses responsabilités.
Le capitaine demande réparation pour l’outrage que sa sœur a vécu et souhaite régler le litige au Sabacc.
MD : Walderim
Vel : Pash (humain)
Okinawak : Mathus (humain)
Lazarock : Llowhrick (wookie)
Melendil : Oskara (twi'lek)
Nous quittons la base pénitentiaire à bord du R.A.S avec la quinzaine de storm trooper que nous avons sauvé. De concert, nous prenons la décision de les déposer sur la plus proche base impériale. Le commandant souhaitant que nous fassions un rapport au colonel de la base sur leur sauvetage, nous ne pouvons déroger à sa requête au risque de passer pour louches. Mathus leurs explique que nous passions dans le coin pour aller récupérer de la feraille et que nous nous sommes déroutés lorsque nous avons capté l’appel de détresse.
Il me semble que Pash n’a pas été très convainquant mais cela passe et nous pouvons regagner notre vaisseau sans être inquiétés. Du coin de l’œil j’aperçois le colonel de la base s’entretenir avec Mathus. Il lui a même souri. Etrange. Lors de l’exploration de la base pénitentiaire, Mathus avait trouvé dans l’un des ordinateurs que les 3 frégates étaient reparties vers un champ d’astéroïdes sur la bordure extérieur. Nous allons donc suivre cette piste. Arrivée sur place, nous nous posons sur un astéroïde afin de scruter les ondes ou déplacements de vaisseaux dans le secteur. 3 heures plus tard, rien. Nous décidons donc d’aller voir un peu plus loin mais lorsque nous remettons les gaz, nous tombons nez à nez avec 3 chasseurs pirate que nous n’avions pas détecté.
En infériorité numérique ; les pourparlers s’engagent et décidons de jouer cartes sur table en leurs annonçant que nous avons une information capitale pour la survie de leur base pirate. Nous sommes donc sommés de les suivre et atteignons un immense astéroïde hébergeant une base.
Après nous être posés , nous sommes accueillis sur le tarmac par une étrange créature. Il s’agit d’un jawa mécanisé qui se nomme Scrapjaw
Pash lui explique que dans une cantina, nous avons surpris une conversation entre officiers impériaux. « Une base pénitentiaire aurait été attaquée et l’empire se préparerait en représailles à faire une descente lourdement armée dans le secteur ». Nous ne faisions que les avertir car comme eux, nous ne portons pas l’empire dans notre cœur. « Et c’est mauvais pour les affaires ». Oskara tente également d’argumenter mais Scrapjaw ne lui porte aucun intérêt. Le jawa semble nous croire et au détour de la conversation Pash lâche le fait que nous sommes à la recherche de main d’œuvre humaine pour une ferme sur Tatoïne. Nous accompagnons la créature dans une section de la base où sont stockés les esclaves par centaines. Nulle trace de Han Solo.
Quelque peu déçus nous allons au tripot de la station qui ressemble beaucoup à un cloaque.
Pendant ce temps, Mathus est parti visiter la station. Au détour d’une borne informatique dans le secteur des mécanos, il s’y connecte et apprend que seulement 2 des 3 frégates sont arrivées à la station ; la 3eme ayant disparu sur le trajet. Mais son intrusion n’est pas passée inaperçu et des alarmes sonnent. Notre ingénieur parvient néanmoins à se faufiler entre les gardes et à retourner tranquillement au vaisseau où Oskara l’attend.
Dans le cloaque Pash quand à lui rencontre le Capitaine Gideon qui est le chef de cette base.
Il a pour animal de compagnie une espèce de bestioles très moche et avec une gueule bien fournie en dents.
Les deux hommes semblent néanmoins se connaître. Il s’avère que Pash devait épouser la sœur du Devaronien mais aurait fuit ses responsabilités.
Le capitaine demande réparation pour l’outrage que sa sœur a vécu et souhaite régler le litige au Sabacc.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Lien avec les images : https://pdfhost.io/v/H9yn~305T_Partie_de_sabacc_rancorpdf.pdf
Nous voici à jouer au sabacc avec Pash & Mathus, parce que le premier a fui le jour de son mariage, quand il a découvert le visage de sa femme. Visiblement ça a vexé la mariée, sa famille aussi, et nous voilà à devoir jouer pour une dette d’honneur…
Son ex beau-frère nous a montré une photo, elle a certes un sourire carnassier, mais pas de là à faire fuir quelqu’un !
Moi, je comprends cette question d’honneur. J’aime bien Pash mais au moins, il aurait pu tuer la mariée, prétextant qu’elle avait essayé de lui manger son âme.
Mais Pash, c’est un peu la famille, et sa famille, on la défend ! Avec un peu de chance ça va partir en baston générale.
Au 1er tour : Mathus gagne, je n’y comprends rien, ça chauffe dans ma tête. Pash gagne aussi, il rafle la mise. Normal, je crois que c’est le seul qui sait vraiment comment ça se joue.
Au 2ème tour : je perds tout, ce jeu est nul, ça n’a aucun sens, je prends à boire, de toutes façons si je force trop je vais commencer à avoir des vertiges. Pash multiplie l’argent, 150 crédits d’un coup ! Enfin, il nous dit 150 crédits, mais je le vois en glisser certains dans sa manche…
Au 3ème tour : les deux comparses gagnent, Mathus ridiculise les pirates aguerris, se targuant d’un petit « nananinanère ». Sûrement un dialecte local…
4ème tour : Gideon veut parier du solide, il en a marre de parier dans le vide.
Mathus parie Oskara, je ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête… ou alors elle s’est pariée seule… Gideon voudrait me parier, non mais il rêve lui, je suis un Wookie libre, ni Dieu ni Maître, Pash propose le vaisseau à la place et… … C’est Oskara qui part avec lui !! OSKARA, REVIENS
Je ne peux pas agir, sauter pour la sauver, ils sont trop nombreux, ça va laisser trop de sang, c’est difficile à retirer après…
Mathus tente le tout pour le tout, le vaisseau contre Oskara, qui semble prendre un certain plaisir dans sa nouvelle situation… avant de se faire rattraper par les appétences de bondage de Gidéon ! La voici saucissonnée à côté de lui, un sourire… satisfait ( ?) sur son visage.
Mathus bidouille les cartes et finit par sortir une quinte flush royale par alliance, avec la tête de la sœur de Gidéon à la place de la Reine. C’est fort.
Apparemment c’est quand même rare, mais tout ce que je vois c’est qu’Oskara est désenchaînée, même si je sens une pointe de déception dans son visage quand l’étreinte se dessert ! Elle s’en va en susurrant quelque chose à l’oreille de son maître, lui mordillant le lobe.
Beurk.
Mathus se targue d’être le meilleur joueur de ce coin de la galaxie et s’en va, sur un air de Jojo.
Je ne sais pas ce que c’est mais il m’a dit que c’était ça ce bref mouvement de main et cet arrêt dans l’encadrure de la porte.
Tout ça c’est compliqué, mais Oskara est sauvée (enfin, le voulait elle ??) alors ON BOIT.
Un verre, un second, j’en commande trois de plus, et c’est Oskara qui arrive, voulant aller voir Gideon.
Je ne juge pas, mais tout de même, si elle préfère sa compagnie, qu’elle le dise !
Oskara arbore son regard malicieux, plein d’envie à l’idée de retourner voir son maître d’une minute.
Elle lui fait un gringue d’enfer, laissant ses nattes glisser le long de son torse et… Et la voici qui parle encore de parier son corps.
Gideon, en revanche, sait reconnaître un poil bien entretenu et tente la flatterie avec moi.
Il me parle d’exposant Gamoréen, de combat dans l’arène… Qu’est-ce qu’un marchand aurait à faire contre moi dans l’arène ??
Mais quand on me parle de combat, je ne dis jamais non !
Ça parlotte, ça parlotte, ça se flatte, ça tente de faire des massages d’épaules, mais rien n’avance !
« BON ALORS, QUAND EST-CE QU’ON S’TAPE BORDEL »
Oskara tente de négocier mon adversaire, j’entends Mathus qui joue derrière. Le voici accro à ce jeu de mort comme Pash à l’argent !
Malgré tous les efforts d’Oskara, Gideon se retire en disant « ça ma chérie, ça sera la surprise »
De l’action, enfin !
Mathus me fait une révision de mon équipement, je m’étire un peu.
Le combat contre « Mimosa » s’organise, la foule est en délire, je rentre dans l’arène.
Au passage, je demande à un garde Gamoréen si Mimosa a de la famille, des amis proches, que je puisse moi-même leur porter le message une fois le combat terminé.
Ce dernier rit dans sa bajoue et me dit que je n’en ressortirai pas vivant.
Un peu vexé, je lui pari un verre dans le bar, ce qu’il accepte en riant.
Je rentre, la foule scande « MI MO SA, MI MO SA », j’entends mes comparses en com-link parier sur ma victoire.
C’est toujours plaisant.
Je m’avance dans l’arène, perds le signal avec mes compagnons, quand débarque, en grandes pompes, un rancor, encouragé par une foule au bord de la folie.
Mais on ne trompe pas mon œil expert, celui-ci est certes plus gros que ceux qu’on trouve d’ordinaire dans les arènes, mais sa peau n’est pas belle.
Il doit y avoir un problème avec son alimentation, le soigneur entendra de mes nouvelles !
Le rancor, sûrement intéressé par la marque de mon savon, me charge.
Je connais la manœuvre, je la pratique, alors dès que la bête pose un de ses imposants poings au sol, je prends appuie dessus et je cours le long de son bras, arrivant vers sa tête et d’un coup d’un seul, ma lame Ryyk passe au travers de sa carotide.
La bête s’écroule, le silence se fait.
Je soulève la tête de la bête, brandissant mon trophée à la foule, qui explose de joie.
« BRAWL ICK, BRAWL ICK »
Gngngn je m’appelle pas comme ça, mais là encore ils sont trop nombreux, ça ferait trop de sang à nettoyer.
Alors que je cherche où se trouve la « surprise » (un rancor, c’est l’entrée, non ?), les grilles s’ouvrent de part et d’autre, et laissent apparaître trois bêtes.
Ça, c’est « minou ».
Il a le poil duveteux et souriait beaucoup.
Il sautait partout, ça me faisait mal à la tête alors je l’ai tué en premier.
Ça, c’est un Reek.
Par respect pour notre proximité de nom, je le laisse courir dans l’arène, il a l’air d’en avoir besoin.
De toute façon il n’est pas dangereux.
Ça, c’est Saloperie.
Je taille, je taille, mais ses patounes ne me permettent pas de l’escalader, pire que ça, elles sont suffisamment épaisses pour que je ne puisse pas tailler à même sa chair une échelle.
Elle me met des coups, j’ai mal, ma tête est embrouillée par la rage. Il faut que je finisse vite avant d’être en surcharge.
Mais le temps passe, rien n’avance, ça m’agace d’autant plus et alors que je commence à me dire qu’il faudrait peut-être que je change d’approche, j’entends Pash me dire « la fête est fini, on rentre ».
Ça, c’est le signal qu’ils ont fait des bêtises, ou qu’on leur cherche des noises, alors je me mets en route vers la sortie, quand je croise un Gamoréen qui me court droit dessus.
Dans le doute, je lui mets un coup de lame pendant ma course et il tombe.
Sa tête me dit quelque chose, bah, tant pis.
Saloperie lui file des coups aussi, nous sommes liés à jamais, elle et moi, et je lui lance un regard qui en dit long « nous réglerons ça plus tard, Saloperie ».
Je rejoins Pash, nous courrons dans les couloirs, croisant Mathus qui chantonne un « je me bats en arrière-plan, je me bats en arrière-plan » alors qu’il joue à chat avec deux gardes. Il appelle ça être « méta ».
C’est un humain un peu bizarre des fois…
On finit par croiser Oskara, éconduite, qui ne cesse de vociférer « Gidéooooooooon, mon pognoooooooooon »
Mathus retourne voir un bookmaker, je l’accompagne. J’en profiterai pour trouver le soigneur, j’ai deux mots à lui dire…
Nous voici à jouer au sabacc avec Pash & Mathus, parce que le premier a fui le jour de son mariage, quand il a découvert le visage de sa femme. Visiblement ça a vexé la mariée, sa famille aussi, et nous voilà à devoir jouer pour une dette d’honneur…
Son ex beau-frère nous a montré une photo, elle a certes un sourire carnassier, mais pas de là à faire fuir quelqu’un !
Moi, je comprends cette question d’honneur. J’aime bien Pash mais au moins, il aurait pu tuer la mariée, prétextant qu’elle avait essayé de lui manger son âme.
Mais Pash, c’est un peu la famille, et sa famille, on la défend ! Avec un peu de chance ça va partir en baston générale.
Au 1er tour : Mathus gagne, je n’y comprends rien, ça chauffe dans ma tête. Pash gagne aussi, il rafle la mise. Normal, je crois que c’est le seul qui sait vraiment comment ça se joue.
Au 2ème tour : je perds tout, ce jeu est nul, ça n’a aucun sens, je prends à boire, de toutes façons si je force trop je vais commencer à avoir des vertiges. Pash multiplie l’argent, 150 crédits d’un coup ! Enfin, il nous dit 150 crédits, mais je le vois en glisser certains dans sa manche…
Au 3ème tour : les deux comparses gagnent, Mathus ridiculise les pirates aguerris, se targuant d’un petit « nananinanère ». Sûrement un dialecte local…
4ème tour : Gideon veut parier du solide, il en a marre de parier dans le vide.
Mathus parie Oskara, je ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête… ou alors elle s’est pariée seule… Gideon voudrait me parier, non mais il rêve lui, je suis un Wookie libre, ni Dieu ni Maître, Pash propose le vaisseau à la place et… … C’est Oskara qui part avec lui !! OSKARA, REVIENS
Je ne peux pas agir, sauter pour la sauver, ils sont trop nombreux, ça va laisser trop de sang, c’est difficile à retirer après…
Mathus tente le tout pour le tout, le vaisseau contre Oskara, qui semble prendre un certain plaisir dans sa nouvelle situation… avant de se faire rattraper par les appétences de bondage de Gidéon ! La voici saucissonnée à côté de lui, un sourire… satisfait ( ?) sur son visage.
Mathus bidouille les cartes et finit par sortir une quinte flush royale par alliance, avec la tête de la sœur de Gidéon à la place de la Reine. C’est fort.
Apparemment c’est quand même rare, mais tout ce que je vois c’est qu’Oskara est désenchaînée, même si je sens une pointe de déception dans son visage quand l’étreinte se dessert ! Elle s’en va en susurrant quelque chose à l’oreille de son maître, lui mordillant le lobe.
Beurk.
Mathus se targue d’être le meilleur joueur de ce coin de la galaxie et s’en va, sur un air de Jojo.
Je ne sais pas ce que c’est mais il m’a dit que c’était ça ce bref mouvement de main et cet arrêt dans l’encadrure de la porte.
Tout ça c’est compliqué, mais Oskara est sauvée (enfin, le voulait elle ??) alors ON BOIT.
Un verre, un second, j’en commande trois de plus, et c’est Oskara qui arrive, voulant aller voir Gideon.
Je ne juge pas, mais tout de même, si elle préfère sa compagnie, qu’elle le dise !
Oskara arbore son regard malicieux, plein d’envie à l’idée de retourner voir son maître d’une minute.
Elle lui fait un gringue d’enfer, laissant ses nattes glisser le long de son torse et… Et la voici qui parle encore de parier son corps.
Gideon, en revanche, sait reconnaître un poil bien entretenu et tente la flatterie avec moi.
Il me parle d’exposant Gamoréen, de combat dans l’arène… Qu’est-ce qu’un marchand aurait à faire contre moi dans l’arène ??
Mais quand on me parle de combat, je ne dis jamais non !
Ça parlotte, ça parlotte, ça se flatte, ça tente de faire des massages d’épaules, mais rien n’avance !
« BON ALORS, QUAND EST-CE QU’ON S’TAPE BORDEL »
Oskara tente de négocier mon adversaire, j’entends Mathus qui joue derrière. Le voici accro à ce jeu de mort comme Pash à l’argent !
Malgré tous les efforts d’Oskara, Gideon se retire en disant « ça ma chérie, ça sera la surprise »
De l’action, enfin !
Mathus me fait une révision de mon équipement, je m’étire un peu.
Le combat contre « Mimosa » s’organise, la foule est en délire, je rentre dans l’arène.
Au passage, je demande à un garde Gamoréen si Mimosa a de la famille, des amis proches, que je puisse moi-même leur porter le message une fois le combat terminé.
Ce dernier rit dans sa bajoue et me dit que je n’en ressortirai pas vivant.
Un peu vexé, je lui pari un verre dans le bar, ce qu’il accepte en riant.
Je rentre, la foule scande « MI MO SA, MI MO SA », j’entends mes comparses en com-link parier sur ma victoire.
C’est toujours plaisant.
Je m’avance dans l’arène, perds le signal avec mes compagnons, quand débarque, en grandes pompes, un rancor, encouragé par une foule au bord de la folie.
Mais on ne trompe pas mon œil expert, celui-ci est certes plus gros que ceux qu’on trouve d’ordinaire dans les arènes, mais sa peau n’est pas belle.
Il doit y avoir un problème avec son alimentation, le soigneur entendra de mes nouvelles !
Le rancor, sûrement intéressé par la marque de mon savon, me charge.
Je connais la manœuvre, je la pratique, alors dès que la bête pose un de ses imposants poings au sol, je prends appuie dessus et je cours le long de son bras, arrivant vers sa tête et d’un coup d’un seul, ma lame Ryyk passe au travers de sa carotide.
La bête s’écroule, le silence se fait.
Je soulève la tête de la bête, brandissant mon trophée à la foule, qui explose de joie.
« BRAWL ICK, BRAWL ICK »
Gngngn je m’appelle pas comme ça, mais là encore ils sont trop nombreux, ça ferait trop de sang à nettoyer.
Alors que je cherche où se trouve la « surprise » (un rancor, c’est l’entrée, non ?), les grilles s’ouvrent de part et d’autre, et laissent apparaître trois bêtes.
Ça, c’est « minou ».
Il a le poil duveteux et souriait beaucoup.
Il sautait partout, ça me faisait mal à la tête alors je l’ai tué en premier.
Ça, c’est un Reek.
Par respect pour notre proximité de nom, je le laisse courir dans l’arène, il a l’air d’en avoir besoin.
De toute façon il n’est pas dangereux.
Ça, c’est Saloperie.
Je taille, je taille, mais ses patounes ne me permettent pas de l’escalader, pire que ça, elles sont suffisamment épaisses pour que je ne puisse pas tailler à même sa chair une échelle.
Elle me met des coups, j’ai mal, ma tête est embrouillée par la rage. Il faut que je finisse vite avant d’être en surcharge.
Mais le temps passe, rien n’avance, ça m’agace d’autant plus et alors que je commence à me dire qu’il faudrait peut-être que je change d’approche, j’entends Pash me dire « la fête est fini, on rentre ».
Ça, c’est le signal qu’ils ont fait des bêtises, ou qu’on leur cherche des noises, alors je me mets en route vers la sortie, quand je croise un Gamoréen qui me court droit dessus.
Dans le doute, je lui mets un coup de lame pendant ma course et il tombe.
Sa tête me dit quelque chose, bah, tant pis.
Saloperie lui file des coups aussi, nous sommes liés à jamais, elle et moi, et je lui lance un regard qui en dit long « nous réglerons ça plus tard, Saloperie ».
Je rejoins Pash, nous courrons dans les couloirs, croisant Mathus qui chantonne un « je me bats en arrière-plan, je me bats en arrière-plan » alors qu’il joue à chat avec deux gardes. Il appelle ça être « méta ».
C’est un humain un peu bizarre des fois…
On finit par croiser Oskara, éconduite, qui ne cesse de vociférer « Gidéooooooooon, mon pognoooooooooon »
Mathus retourne voir un bookmaker, je l’accompagne. J’en profiterai pour trouver le soigneur, j’ai deux mots à lui dire…
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Et voilà comment on se met dans la panade.
Apparemment, devoir jouer nos vies à un jeu de tricheurs professionnels ne suffisait pas, il a fallu que Low se retrouve dans l'arène avec des bestioles sympathiques, la force de l'habitude je suppose.
N'empêche, le voir tuer en un coup des monstres qui font trois fois sa taille a un peu perdu de la superbe des premières fois, mais pour un public de novices, je suppose que ça doit être impressionnant.
Gideon a pas l'air d'avoir apprécié, je peux comprendre qu'il l'ait mauvaise que son poulain se soit fait massacrer en un instant, mais c'est pas une raison pour tenter de buter notre wookie, heureusement, il a réussi à s'en tirer.
Un problème que j'avais pas vu venir en faisant mon pari, c'était comment récupérer mes gains quand une foule en colère se tient entre moi et les bookmakers, Oskara m'a rejoint et on s'est barré avant que ça ne vire à l'émeute, peut-être qu'avec Low …
Oska s'est frayée un chemin jusqu'au kiosque d'informations, où le droïde réceptionniste s'est fait dézinguer juste devant elle, coup de bol, le micro était externe à ce pauvre classe 3 et elle a pu donner rendez-vous aux deux autres.
Tout compte fait, la prochaine fois, c'est moi qui choisis le point de rendez-vous…
Parce que c'est bien de choisir un endroit reconnaissable, mais elle était obligée de choisir le comptoir des bookmakers, le même comptoir dont on s'est éloigné à cause de la foule, la même foule qui s'apprête à partir en croisade ? Et en plus elle a dit à Low de nous rejoindre là-bas…
Surprenamment, c'est pas parti en vrille dès son arrivée, en même temps, qui voudrait se frotter à un type qui mange des rancors au petit dej'? Il y avait même des fans de notre grand poilu dans la foule, mais ça n'a fait que détourner le problème, car maintenant, ça allait passer de la croisade à la guerre civile, et pas la rigolote avec des clones et des droïdes.
On a rejoint nos deux compagnons, ne serait-ce que pour mettre Lowhhrick entre eux et nous, et là, quelqu'un a été stupide…
Bon, plutôt un type et ses gars, mais l'idée est la même, ils se sont mis en tête de prendre celle de Lowhhrick, allez savoir pourquoi, moi je me suis contenté de courir me mettre à couvert, j'ai même retrouvé des copains.
Plus tôt, dans l'espoir que de pouvoir aider Low en actionnant les pièges de l'arène, en partant du principe qu'il avait besoin d'aide, j'ai mis KO les deux types qui gardaient les commandes, et bien ils sont pas restés KO très longtemps, et ils semblaient me chercher quand ils ont ouvert la porte contre laquelle je m'étais plaqué, ils avaient même un nouveau copain.
Ils m'ont regardé.
Je les ai regardés.
J'ai fermé la porte et l'ai rendue hors service.
Problème réglé.
Pendant ce temps, Oska a abattu trois des mecs au blaster, elle aurait pu le mettre en mode étourdissant au moins, le dernier a été nucléarisé par Lowhhrikk.
Note pour plus tard: installer un mode non-létal sur les papattes de Low.
En mal d'argent et d'informations, on s'est mis en route vers la piaule de Gidéon, pendant que derrière nous ça virait au massacre.
Devant chez lui, c'est autant la merde qu'à l'arène, certes moins de gens, mais plus de tirs de blaster, donc ça s'équilibre, mes compagnons les massacrent et pendant que Pash sort une tenaille pour piquer les dents en or des morts, Gidéon nous invite à rentrer, en nous félicitant pour "le spectacle".
On commence direct à parler affaire, mais il a pas l'air pressé, il nous promet même nos gains, on doit juste attendre quelque minutes qu'il fasse réunir 15000 crédits, il est sympa et il nous sert même à boire en attendant.
C'est louche.
Il est courtois, et nous donne les infos qu'il nous a promis, apparemment, la troisième frégate a eu un souci d'hyperdrive, et ils ont dû la laisser, après avoir transféré les esclaves.
C'est très louche.
Il nous propose même de nous payer 10000 crédits de plus si on lui ramène son autre corniaud, perdu dans l'épave, et il nous fait remarquer qu'aucun de nous n'a bu son verre et que c'est pas sympa.
C'est super louche.
Finalement la mallette arrive, il nous invite à la vérifier.
On va tous mourir ici.
J'ouvre la mallette en retenant ma respiration, et...rien.
Nada
Pouic
Zorkc
Que dalle
Hormis les 15000 crédits bien sûr.
Il se fout un peu de notre gueule avant de s'enfiler le verre de Pash, et de nous filer un traceur, pour pouvoir nous retrouver vu que la station bouge régulièrement.
Comment ils ont foutu un hyperdrive là-dessus?
On activera le traceur quand on aura sa créature, vivante bien sûr…
Ça va pas être simple.
Quelques courses et on sera partit.
Apparemment, devoir jouer nos vies à un jeu de tricheurs professionnels ne suffisait pas, il a fallu que Low se retrouve dans l'arène avec des bestioles sympathiques, la force de l'habitude je suppose.
N'empêche, le voir tuer en un coup des monstres qui font trois fois sa taille a un peu perdu de la superbe des premières fois, mais pour un public de novices, je suppose que ça doit être impressionnant.
Gideon a pas l'air d'avoir apprécié, je peux comprendre qu'il l'ait mauvaise que son poulain se soit fait massacrer en un instant, mais c'est pas une raison pour tenter de buter notre wookie, heureusement, il a réussi à s'en tirer.
Un problème que j'avais pas vu venir en faisant mon pari, c'était comment récupérer mes gains quand une foule en colère se tient entre moi et les bookmakers, Oskara m'a rejoint et on s'est barré avant que ça ne vire à l'émeute, peut-être qu'avec Low …
Oska s'est frayée un chemin jusqu'au kiosque d'informations, où le droïde réceptionniste s'est fait dézinguer juste devant elle, coup de bol, le micro était externe à ce pauvre classe 3 et elle a pu donner rendez-vous aux deux autres.
Tout compte fait, la prochaine fois, c'est moi qui choisis le point de rendez-vous…
Parce que c'est bien de choisir un endroit reconnaissable, mais elle était obligée de choisir le comptoir des bookmakers, le même comptoir dont on s'est éloigné à cause de la foule, la même foule qui s'apprête à partir en croisade ? Et en plus elle a dit à Low de nous rejoindre là-bas…
Surprenamment, c'est pas parti en vrille dès son arrivée, en même temps, qui voudrait se frotter à un type qui mange des rancors au petit dej'? Il y avait même des fans de notre grand poilu dans la foule, mais ça n'a fait que détourner le problème, car maintenant, ça allait passer de la croisade à la guerre civile, et pas la rigolote avec des clones et des droïdes.
On a rejoint nos deux compagnons, ne serait-ce que pour mettre Lowhhrick entre eux et nous, et là, quelqu'un a été stupide…
Bon, plutôt un type et ses gars, mais l'idée est la même, ils se sont mis en tête de prendre celle de Lowhhrick, allez savoir pourquoi, moi je me suis contenté de courir me mettre à couvert, j'ai même retrouvé des copains.
Plus tôt, dans l'espoir que de pouvoir aider Low en actionnant les pièges de l'arène, en partant du principe qu'il avait besoin d'aide, j'ai mis KO les deux types qui gardaient les commandes, et bien ils sont pas restés KO très longtemps, et ils semblaient me chercher quand ils ont ouvert la porte contre laquelle je m'étais plaqué, ils avaient même un nouveau copain.
Ils m'ont regardé.
Je les ai regardés.
J'ai fermé la porte et l'ai rendue hors service.
Problème réglé.
Pendant ce temps, Oska a abattu trois des mecs au blaster, elle aurait pu le mettre en mode étourdissant au moins, le dernier a été nucléarisé par Lowhhrikk.
Note pour plus tard: installer un mode non-létal sur les papattes de Low.
En mal d'argent et d'informations, on s'est mis en route vers la piaule de Gidéon, pendant que derrière nous ça virait au massacre.
Devant chez lui, c'est autant la merde qu'à l'arène, certes moins de gens, mais plus de tirs de blaster, donc ça s'équilibre, mes compagnons les massacrent et pendant que Pash sort une tenaille pour piquer les dents en or des morts, Gidéon nous invite à rentrer, en nous félicitant pour "le spectacle".
On commence direct à parler affaire, mais il a pas l'air pressé, il nous promet même nos gains, on doit juste attendre quelque minutes qu'il fasse réunir 15000 crédits, il est sympa et il nous sert même à boire en attendant.
C'est louche.
Il est courtois, et nous donne les infos qu'il nous a promis, apparemment, la troisième frégate a eu un souci d'hyperdrive, et ils ont dû la laisser, après avoir transféré les esclaves.
C'est très louche.
Il nous propose même de nous payer 10000 crédits de plus si on lui ramène son autre corniaud, perdu dans l'épave, et il nous fait remarquer qu'aucun de nous n'a bu son verre et que c'est pas sympa.
C'est super louche.
Finalement la mallette arrive, il nous invite à la vérifier.
On va tous mourir ici.
J'ouvre la mallette en retenant ma respiration, et...rien.
Nada
Pouic
Zorkc
Que dalle
Hormis les 15000 crédits bien sûr.
Il se fout un peu de notre gueule avant de s'enfiler le verre de Pash, et de nous filer un traceur, pour pouvoir nous retrouver vu que la station bouge régulièrement.
Comment ils ont foutu un hyperdrive là-dessus?
On activera le traceur quand on aura sa créature, vivante bien sûr…
Ça va pas être simple.
Quelques courses et on sera partit.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Une fois partis de cette planète de filous, nous nous sommes mis en route pour récupérer le gentil toutou.
Simple, efficace, on sait où il s’est perdu, c’est pas comme s’il pouvait se passer quelque chose de perturbant, si ?
Pash & Mathus, les cerveaux (parfois) du groupe parlent d’un autre objectif, mais ça commence à vouloir capturer un prisonnier pour le re-rendre prisonnier, alors qu’il est sur un vaisseau prison… Je ne comprends pas grand-chose mais ne vais surtout pas essayer d’en savoir plus, leurs discussions d’humains sont déjà suffisamment compliquées comme ça !
Le temps du voyage, j’aide Mathus dans ses travaux.
Il ne le dira pas mais je suis un assistant hors pair ! Quand il a besoin de métal, je prends le premier truc qui passe, je le casse en morceaux et TADA, du métal.
Nous arrivons sur le vaisseau, perdu dans un champ d’astéroïdes, et commençons notre recherche.
Labria est chargé de garder le vaisseau avec une consigne simple et claire : « tu n’ouvres à personne, tu restes ici jusqu’à notre retour ».
Oskara tente de tirer au travers les cloisons parce que, je cite, « mon fusil peut le faire, alors je le ferai ! ». J’ai du mal à voir l’objectif derrière, mais c’est elle le sniper, elle doit savoir ce qu’elle fait.
Avec Pash, nous partons explorer les pontons avant du vaisseau, pendant que Mathus & Oskara explorent l’arrière.
Après plusieurs heures à remuer chaque plaque de tôle, nous finissons par tomber nez à nez avec le chien. Enfin, nez à nez lorsque nous demandons à notre groom (Mathus) d’ouvrir et fermer les portes. C’est pratique de savoir bidouiller les trucs informatiques, je lui demanderai de m’apprendre, avec mes grosses mains c’est compliqué.
Quant au massiff, eh bien … IL EST TROP MIGNON
Une petite charge plus tard, aidé du Gros Bâton™ gentiment fabriqué par Mathus en échange de mes loyaux services sur le vaisseau, le bon toutou est endormi (temporairement).
Oskara cherche si le massiff n’aurait pas des petits, avec un pouik pouik.
Nous allons sur le pont des cellules, Pash essaie et ne réussit pas à accéder aux contrôles d’une cellule, j’essaie à mon tour mais cette fichue machine est cassée et plus rien ne répond.
Avec Pash, nous enfermons le massiff dans la dernière cellule en nous assurant qu’il est bien attaché. Ce serait dommage qu’il veuille recommencer à jouer, nous n’avons pas le temps !
Au même moment, Mathus nous informe qu’une forme de vie a été détectée sur le pont inférieur et qu’il a réussi à la bloquer.
Je descends à toute allure tandis que Pash descend au niveau du vaisseau.
Oskara, enfermée avec la forme de vie, semble avoir été étourdie et met du temps à entrer au contact de cet intrus.
« La… Labria ? »
Pash arrive au même moment au niveau du hangar pour découvrir que notre vaisseau a disparu. Enragé, il jure comme un wookie et promet sur le code de déshonneur des contrebandiers qu’il fera lui-même la peau à Labria.
Afin de comprendre, Mathus se connecte au service de sécurité et découvre Han Solo, leurrant Labria hors du vaisseau, en profitant pour s’enfuir.
Suite au récit de la mésaventure, à base de « gngngn mais l’humain m’a dit que vous aviez besoin d’aide, et puis bon, entre humain c’est difficile de vous différencier », Mathus propose un vote pour exclure Labria. Enfin exclure, en gros on l’abandonnera sur une planète au pif, on jouera à plouf plouf pour choisir celle qui aura notre affection.
Je suis personnellement pour le laisser sur une planète où il a une chance de s’en sortir, tandis que Pash & Mathus misent sur un désert.
Pash baragouine qu’il a besoin d’être seul un temps et s’isole. Il nous prévient qu’il va trouver un moyen d’être secouru.
Pendant ce temps, nous continuons à explorer le vaisseau. J’entreprends de le démonter pour récupérer des matériaux pour Mathus.
Ce dernier, dans ses explorations, endend « à l’aide » et fonce pour porter assistance à ce nouvel inconnu.
Avec Oskara, on fonce pour l’aider.
BOUM
Le couloir décompresse, je saute en arrière tandis qu’Oskara utilise son grappin pour se propulser en avant. C’est beau à voir, gracieux et j’ai même l’impression de la voir se déplacer au ralenti. 11/10, would buy.
Je fais le tour, je passe par le couloir de gaz brûlant en courant pour éviter de me blesser, même pas mal.
J’arrive devant Mathus & Oskara, regardant un peu embêté un Verpine bloqué sous de la machinerie.
Il est vivant (je crois), mais le levier en métal bloqué sous l’amas de composants me laisse penser qu’ils galèrent un peu à faire contrepoids.
En mettant tout ce que j’ai, j’aide à lever la machinerie et libérer le Verpine, qui se présente sous le doux nom (contrairement à son aspect) d’Apriv Ipu.
Il semble néanmoins subsister une incompréhension. Apriv est ravi que nous soyons ici, persuadé que nous avons un vaisseau…
Autant dire que nous sommes passés pour des blaireaux quand nous lui avons expliqué.
Oskara a tenté un bluff mais Mathus a préféré dire la vérité, afin de nous éviter des embrouilles supplémentaires.
Apriv, se disant mécano, a tenté de rétablir le courant dans le vaisseau, mais visiblement s’est un peu foiré dans l’opération, a pété le générateur thermique et flippe désormais que le vaisseau n’explose. Selon lui il faut accéder à la console d’urgence pour répartir correctement l’énergie et c’est face à un couloir électrifié que nous nous trouvons désormais, la console de contrôle étant, évidemment, de l’autre côté.
Mathus tente dans un premier temps de dévier le courant, sans succès. Une seule solution : traverser le couloir.
Compte tenu de la place, seuls Oskara & Mathus peuvent passer, mais, et je crois que ça ne fait aucun doute, c’est à Mathus d’aller bidouiller dans l’informatique.
On ne le répétera pas assez, mais Mathus MVP.
Je propose d’utiliser le grappin pour passer, Oskara ayant déjà fait usage de cet outil précédemment, mais visiblement ça ne semble pas intéresser mes comparses.
Après moultes échanges, avoir envisagé que je propulse Mathus dans le couloir en le lançant façon « ballon de rugby », nous sommes face à une impasse.
Cela fait une bonne demi-heure que nous sommes là, une voix divine semble s’adresser à nous en nous disant « soyez pas con, vous avez tout ce qu’il faut plutôt que de faire une connerie ».
Je crois que c’est la Force qui nous parle.
Mathus a soudain une idée brillante, il propose d’utiliser le grappin pour traverser.
Gngngn
Après s’être assurés que le grappin permetait un passage sans risque, Mathus entreprend la traversée du couloir pour arriver devant la console.
On l’entend jurer, puis finalement s’exclamer avec satisfaction.
L’énergie est redistribuée vers le générateur d’oxygène, le moteur, les communications et les boucliers.
Ce n’est pas grand-chose (encore que), mais c’est du travail honnête.
Nous manœuvrons pour sortir de la ceinture d’astéroïdes, et alors que l’espace commence à s’éclaircir, Pash arrive en nous disant
« Les secours arrivent ! » avant de s’évanouir sous le coup de l’émotion.
Nous sommes sur le point d’être récupérés, que dis-je, sauvés de cet enfer par de braves aliens, qui nous donnent rendez-vous dans le hangar.
J’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui cloche.
Nous descendons les étages quand soudain… Ils se mettent à nous tirer dessus depuis leur vaisseau !
Mathus court pour lui mettre des tatanes tandis qu’Oskara suit pour je ne sais quelle raison.
Pour ma part, je décide de faire le tour du hangar : si c’est un piège, il y aura des tireurs ambusqués.
Les portes semblent fermées, je ne tente pas de les forcer, même si je repère un point de tir avantageux qu’il aurait été pratique d’aller vérifier.
Bingo, quelqu’un nous tire dessus de je ne sais où. J’essuie un tir qui rebondit sur mon bouclier, je vois Oskara se le prendre de plein fouet.
Le vaisseau quant à lui tourne dans la pièce, à un moment il passe à ma portée, je lui donne un coup pour désorienter le canon mais n’y prête pas plus d’attention que cela, je laisse ça à mes comparses.
Mathus prend le contrôle d’une grue et tente de maintenir le vaisseau en place, tandis qu’Oskara tente de lui tirer dessus, mais le vaisseau a trop de puissance et se libère de la grue sans laisser le temps à mes compagnons d’infliger des dégâts suffisants.
Le hangar est fouillé, pas de tireur par ici, c’est alors qu’Oskara s’exclame « Là-bas ! ».
Le tireur est planqué, je vous le donne en mille (dans 5min le temps d’aller le choper), dans le point que j’avais repéré en arrivant.
A ce moment, je m’aperçois d’une porte ouverte (je jurerai que le décor était fermé la première fois où je suis passé) et alors que je me précipite pour aller débusquer le sniper, c’est mon dos qui reçoit le premier coup réussi du vaisseau de plein fouet, je suis mis au tapis en un coup.
Tout est flou, j’entends mes amis hurler de douleur, puis une voix familière me dire « Tiens bon mon pote, je suis avec toi ».
Je reprends vaguement mes esprits, Labria est là, puant comme à son habitude, un stimpack dans la main, planté dans mon bras.
Je profite de cette chance donnée par notre ami/boulet de toujours pour aller prendre la vie du tireur rodien.
J’entends Mathus dire « Je vais aider Brawlhick, garde les occupés Oskara ! » mais quand il m’entend répondre (ou alors c’est quand j’ai fait passer le sniper par la fenêtre, je ne sais pas trop), il fait demi-tour et retourne aider notre amie, ayant visiblement raté l’occasion de se carapater pour prendre une position plus avantageuse et désormais prise au piège.
Le temps de descendre, mes compères sont au sol, inconscients, et si j’arrive à m’approcher et à blesser un des deux assaillants Rodiens en m’engageant en combat de boue, sans boue, avec le plus costaud, mais il faut me rendre à l’évidence : le vaisseau m’a trop amoché pour que je puisse lutter, et ce n’est pas un stimpack supplémentaire qui y changera grand-chose. Pourquoi s’être séparés ? Si Oskara et moi avions pris le poste de commandement, tout aurait été différent.
Je tombe au sol, vaincu, les goûts amer de la défaite et ferreux du sang en bouche, perdant connaissance auprès de mes compagnons d’infortune.
Si l’occasion m’en est donnée, j’en ferai une parure de lit.
Simple, efficace, on sait où il s’est perdu, c’est pas comme s’il pouvait se passer quelque chose de perturbant, si ?
Pash & Mathus, les cerveaux (parfois) du groupe parlent d’un autre objectif, mais ça commence à vouloir capturer un prisonnier pour le re-rendre prisonnier, alors qu’il est sur un vaisseau prison… Je ne comprends pas grand-chose mais ne vais surtout pas essayer d’en savoir plus, leurs discussions d’humains sont déjà suffisamment compliquées comme ça !
Le temps du voyage, j’aide Mathus dans ses travaux.
Il ne le dira pas mais je suis un assistant hors pair ! Quand il a besoin de métal, je prends le premier truc qui passe, je le casse en morceaux et TADA, du métal.
Nous arrivons sur le vaisseau, perdu dans un champ d’astéroïdes, et commençons notre recherche.
Labria est chargé de garder le vaisseau avec une consigne simple et claire : « tu n’ouvres à personne, tu restes ici jusqu’à notre retour ».
Oskara tente de tirer au travers les cloisons parce que, je cite, « mon fusil peut le faire, alors je le ferai ! ». J’ai du mal à voir l’objectif derrière, mais c’est elle le sniper, elle doit savoir ce qu’elle fait.
Avec Pash, nous partons explorer les pontons avant du vaisseau, pendant que Mathus & Oskara explorent l’arrière.
Après plusieurs heures à remuer chaque plaque de tôle, nous finissons par tomber nez à nez avec le chien. Enfin, nez à nez lorsque nous demandons à notre groom (Mathus) d’ouvrir et fermer les portes. C’est pratique de savoir bidouiller les trucs informatiques, je lui demanderai de m’apprendre, avec mes grosses mains c’est compliqué.
Quant au massiff, eh bien … IL EST TROP MIGNON
Une petite charge plus tard, aidé du Gros Bâton™ gentiment fabriqué par Mathus en échange de mes loyaux services sur le vaisseau, le bon toutou est endormi (temporairement).
Oskara cherche si le massiff n’aurait pas des petits, avec un pouik pouik.
Nous allons sur le pont des cellules, Pash essaie et ne réussit pas à accéder aux contrôles d’une cellule, j’essaie à mon tour mais cette fichue machine est cassée et plus rien ne répond.
Avec Pash, nous enfermons le massiff dans la dernière cellule en nous assurant qu’il est bien attaché. Ce serait dommage qu’il veuille recommencer à jouer, nous n’avons pas le temps !
Au même moment, Mathus nous informe qu’une forme de vie a été détectée sur le pont inférieur et qu’il a réussi à la bloquer.
Je descends à toute allure tandis que Pash descend au niveau du vaisseau.
Oskara, enfermée avec la forme de vie, semble avoir été étourdie et met du temps à entrer au contact de cet intrus.
« La… Labria ? »
Pash arrive au même moment au niveau du hangar pour découvrir que notre vaisseau a disparu. Enragé, il jure comme un wookie et promet sur le code de déshonneur des contrebandiers qu’il fera lui-même la peau à Labria.
Afin de comprendre, Mathus se connecte au service de sécurité et découvre Han Solo, leurrant Labria hors du vaisseau, en profitant pour s’enfuir.
Suite au récit de la mésaventure, à base de « gngngn mais l’humain m’a dit que vous aviez besoin d’aide, et puis bon, entre humain c’est difficile de vous différencier », Mathus propose un vote pour exclure Labria. Enfin exclure, en gros on l’abandonnera sur une planète au pif, on jouera à plouf plouf pour choisir celle qui aura notre affection.
Je suis personnellement pour le laisser sur une planète où il a une chance de s’en sortir, tandis que Pash & Mathus misent sur un désert.
Pash baragouine qu’il a besoin d’être seul un temps et s’isole. Il nous prévient qu’il va trouver un moyen d’être secouru.
Pendant ce temps, nous continuons à explorer le vaisseau. J’entreprends de le démonter pour récupérer des matériaux pour Mathus.
Ce dernier, dans ses explorations, endend « à l’aide » et fonce pour porter assistance à ce nouvel inconnu.
Avec Oskara, on fonce pour l’aider.
BOUM
Le couloir décompresse, je saute en arrière tandis qu’Oskara utilise son grappin pour se propulser en avant. C’est beau à voir, gracieux et j’ai même l’impression de la voir se déplacer au ralenti. 11/10, would buy.
Je fais le tour, je passe par le couloir de gaz brûlant en courant pour éviter de me blesser, même pas mal.
J’arrive devant Mathus & Oskara, regardant un peu embêté un Verpine bloqué sous de la machinerie.
Il est vivant (je crois), mais le levier en métal bloqué sous l’amas de composants me laisse penser qu’ils galèrent un peu à faire contrepoids.
En mettant tout ce que j’ai, j’aide à lever la machinerie et libérer le Verpine, qui se présente sous le doux nom (contrairement à son aspect) d’Apriv Ipu.
Il semble néanmoins subsister une incompréhension. Apriv est ravi que nous soyons ici, persuadé que nous avons un vaisseau…
Autant dire que nous sommes passés pour des blaireaux quand nous lui avons expliqué.
Oskara a tenté un bluff mais Mathus a préféré dire la vérité, afin de nous éviter des embrouilles supplémentaires.
Apriv, se disant mécano, a tenté de rétablir le courant dans le vaisseau, mais visiblement s’est un peu foiré dans l’opération, a pété le générateur thermique et flippe désormais que le vaisseau n’explose. Selon lui il faut accéder à la console d’urgence pour répartir correctement l’énergie et c’est face à un couloir électrifié que nous nous trouvons désormais, la console de contrôle étant, évidemment, de l’autre côté.
Mathus tente dans un premier temps de dévier le courant, sans succès. Une seule solution : traverser le couloir.
Compte tenu de la place, seuls Oskara & Mathus peuvent passer, mais, et je crois que ça ne fait aucun doute, c’est à Mathus d’aller bidouiller dans l’informatique.
On ne le répétera pas assez, mais Mathus MVP.
Je propose d’utiliser le grappin pour passer, Oskara ayant déjà fait usage de cet outil précédemment, mais visiblement ça ne semble pas intéresser mes comparses.
Après moultes échanges, avoir envisagé que je propulse Mathus dans le couloir en le lançant façon « ballon de rugby », nous sommes face à une impasse.
Cela fait une bonne demi-heure que nous sommes là, une voix divine semble s’adresser à nous en nous disant « soyez pas con, vous avez tout ce qu’il faut plutôt que de faire une connerie ».
Je crois que c’est la Force qui nous parle.
Mathus a soudain une idée brillante, il propose d’utiliser le grappin pour traverser.
Gngngn
Après s’être assurés que le grappin permetait un passage sans risque, Mathus entreprend la traversée du couloir pour arriver devant la console.
On l’entend jurer, puis finalement s’exclamer avec satisfaction.
L’énergie est redistribuée vers le générateur d’oxygène, le moteur, les communications et les boucliers.
Ce n’est pas grand-chose (encore que), mais c’est du travail honnête.
Nous manœuvrons pour sortir de la ceinture d’astéroïdes, et alors que l’espace commence à s’éclaircir, Pash arrive en nous disant
« Les secours arrivent ! » avant de s’évanouir sous le coup de l’émotion.
Nous sommes sur le point d’être récupérés, que dis-je, sauvés de cet enfer par de braves aliens, qui nous donnent rendez-vous dans le hangar.
J’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui cloche.
Nous descendons les étages quand soudain… Ils se mettent à nous tirer dessus depuis leur vaisseau !
Mathus court pour lui mettre des tatanes tandis qu’Oskara suit pour je ne sais quelle raison.
Pour ma part, je décide de faire le tour du hangar : si c’est un piège, il y aura des tireurs ambusqués.
Les portes semblent fermées, je ne tente pas de les forcer, même si je repère un point de tir avantageux qu’il aurait été pratique d’aller vérifier.
Bingo, quelqu’un nous tire dessus de je ne sais où. J’essuie un tir qui rebondit sur mon bouclier, je vois Oskara se le prendre de plein fouet.
Le vaisseau quant à lui tourne dans la pièce, à un moment il passe à ma portée, je lui donne un coup pour désorienter le canon mais n’y prête pas plus d’attention que cela, je laisse ça à mes comparses.
Mathus prend le contrôle d’une grue et tente de maintenir le vaisseau en place, tandis qu’Oskara tente de lui tirer dessus, mais le vaisseau a trop de puissance et se libère de la grue sans laisser le temps à mes compagnons d’infliger des dégâts suffisants.
Le hangar est fouillé, pas de tireur par ici, c’est alors qu’Oskara s’exclame « Là-bas ! ».
Le tireur est planqué, je vous le donne en mille (dans 5min le temps d’aller le choper), dans le point que j’avais repéré en arrivant.
A ce moment, je m’aperçois d’une porte ouverte (je jurerai que le décor était fermé la première fois où je suis passé) et alors que je me précipite pour aller débusquer le sniper, c’est mon dos qui reçoit le premier coup réussi du vaisseau de plein fouet, je suis mis au tapis en un coup.
Tout est flou, j’entends mes amis hurler de douleur, puis une voix familière me dire « Tiens bon mon pote, je suis avec toi ».
Je reprends vaguement mes esprits, Labria est là, puant comme à son habitude, un stimpack dans la main, planté dans mon bras.
Je profite de cette chance donnée par notre ami/boulet de toujours pour aller prendre la vie du tireur rodien.
J’entends Mathus dire « Je vais aider Brawlhick, garde les occupés Oskara ! » mais quand il m’entend répondre (ou alors c’est quand j’ai fait passer le sniper par la fenêtre, je ne sais pas trop), il fait demi-tour et retourne aider notre amie, ayant visiblement raté l’occasion de se carapater pour prendre une position plus avantageuse et désormais prise au piège.
Le temps de descendre, mes compères sont au sol, inconscients, et si j’arrive à m’approcher et à blesser un des deux assaillants Rodiens en m’engageant en combat de boue, sans boue, avec le plus costaud, mais il faut me rendre à l’évidence : le vaisseau m’a trop amoché pour que je puisse lutter, et ce n’est pas un stimpack supplémentaire qui y changera grand-chose. Pourquoi s’être séparés ? Si Oskara et moi avions pris le poste de commandement, tout aurait été différent.
Je tombe au sol, vaincu, les goûts amer de la défaite et ferreux du sang en bouche, perdant connaissance auprès de mes compagnons d’infortune.
Si l’occasion m’en est donnée, j’en ferai une parure de lit.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Bon, je vais pas mentir, j’ai cru qu’on était fini, plus de vaisseau, plus de solution, plus d’espoir…
Du coup j’étais presque joyeux quand ce poivrot de Labria nous a sortis de la mouise, en arrivant avec le mec qui nous canardait sous le bras, un blaster sur sa tempe (ou le terme approprié pour les rodiens). Pendant que notre cher gran s’improvisait preneur d’otage, Ipuh nous a détachés et on est monter dans le vaisseau, alors que la frégate a commencé à partir en morceau (plus vite qu’à l’accoutumé). Osca a commencé à décoller en laissant Labria en plan avec les rodiens, il a quand même réussi à s’accrocher à la rampe d’embarquement qui avait été laissé ouverte par un mystérieux individu, le problème, c’est que Seelo aussi s’y ait accroché.
Nous voila donc, dans un vaisseau sur le point de partir en flamme, avec un passager et un clandestin accroché à une rampe dont la fermeture assurerai l’étanchéité de l’appareil mais la mort douloureuse des deux malheureux.
Dans cette situation, et tant d’autre, un wookie est la solution.
Un alcoolo supplémentaire à bord et un rodien grillé plus tard, ON SE CASSE !!!
Le vaisseau des rodiens a plein de trucs cools, comme une cuve à bacta, des vrais lits, un traceur verrouillé sur le RAS, on arrête pas le progrès…
par contre ils ont pas l’air d’avoir un hyperdrive fonctionnel, bon bah c’est parti pour une réparation dans le vide, youpi…
Dans la liste des trucs du RAS que je ne regrette pas, Minocc était le seul dont je pensait m’être débarrassé, faut croire que l’univers me hais, parce que devinez sur qui je suis tombé que charcutait l’alim de notre hyperdrive…
Pendant que je me tatanais en apesanteur avec notre petit saboteur (au son émulé d’un charmant refrain qui se joue à chaque fois que je dois en venir aux mains) Low et Labria se sont empressés de piller la gnôle des précédents propriétaires, tout en pariant sur le vainqueur, Labria, le perdant, à du servir un verre à Lowrick, qui l’a siroté pendant que je remettais cette coquille de noix en état de voyagé en hyperespace, à ce stade là, ça m’étonne presque qu’ils soient pas partis sans moi.
Un petit voyage en direction du traceur, et on arrive devant CA
Je savais bien que notre cher Han s’était accoquiné avec des pirates qui prétendent se battre « pour la restauration de la République gnagnagna et puis aussi pour les petits oiseau », mais je m’attendait à un groupe de hippies shootés au rill, pas une armada capable de prendre une planète. Après, ils sont peut-être un peu plus calmes que la moyenne, parce que deux X-wing, oui, j’étais aussi très excité, nous ont escortés dans un hangar, plutôt que de nous abattre direct.
Nous avons ainsi fait la connaissance du commandant (je vous jure, ya des pirates qui partent dans des égo-trip) Crakers, je crois, et de ses méthodes d’interrogatoire, à savoir, « je pose que des questions auxquelles je connais déjà la réponse », qui nous à dit que si on pouvait servir d’intermédiaire avec un certain autre capitaine pirate, ils nous tueraient pas.
On s’est donc retrouvé une nouvelle fois embarqué dans un vaisseau pourri à peine capable de maintenir une pression atmosphérique viable, piloté par les très charmantes Bratica et 11-10-0(surnommée Liloo), pendant que Osca tentait de maquer les deux wookies, j’ai fait une liste non-exhaustive des trucs qui allait pas, et il y en avait beaucoup, je crois que le pire c’était les sondes des systèmes de survie qui avaient été remplacées par des interrupteurs, après deux heures de réparation express et de câble-management, on est parti.
Bizarrement, c’est beaucoup plus facile de rentrer dans une station quand on a pas un menteur compulsif qui s’occupe de convaincre les contrôleurs, Scrapjaw nous a directement amené à Gideon, qui a posé les questions de politesse, « comment ça va ? », « c’est quoi cette autre épave que vous avez encore trouvé ? », « pourquoi vous avez envoyé le signal et quand on est arrivé yavait plus personne et d’ailleurs, il est où mon beau-frère ? », bref, du classique. On lui a vite fait un topo, puis on est passé aux choses sérieuses, acheter pour un demi-million de crédits de droïdes « trouvés », enfin, Oscara a fait ça, nous on est resté derrière à moitié stupéfaits alors qu’elle a négocié un rabais de 10 %, elle a jamais fait ça pour nous !!!
Une fois l’affaire conclue, Scrapjaw nous a emmené récupérer la cargaison de droïdes, et on a tout de suite compris où ils avaient été « trouvés », la peinture noire et l’emblème impérial rendaient l’exercice plutôt simple, mais dans les droïdes, un m’était plutôt familier, un astromech de série R, repeint mais reconnaissable parmi mille, R5 !!! Qui ? A demandé Lowrick, mais j’étais trop occupé pour noter de desserrer les boulons de son lit quand j’aurai le temps, pour l’instant, j’avais du boulot et une bonne raison autre que « tu mourra pas ».
- Problème, la cargaison est 2 fois plus grosse que notre poubelle volante
- Solution, prendre le vaisseau cargo que la bande de Gideon nous a gracieusement offert
- Problème, le cargo à pas de navi-ordinateur et les deux autres veulent pas abandonner leur vaisseau
- Solution, on remplace la cabine du cargo par le Rigger tout pourri, qui a au moins le mérite d’avoir un navi ordinateur, je suis génial
Liloo est pas très confiante pour les calcul d’astrogation, du coup je dois m’y coller, on est parti.
Pendant le voyage, je fait une petite RAZ de R5, je sais pas ce que les impériaux on mis dans sa mémoire et j’ai certainement pas envie de me faire prendre avec, une bonne chose que j’ai fait une bac-up quand on est allé récupérer Koulband-Jaxwab, dommage qu’elle soit resté dans le RAS, je le décape aussi, le noir lui va pas bien.
En sortant de l’hyperespace aux coordonnées indiquées, on voit personne, peut-être qu’ils vont arriver plus ta-aaAAAHHH !!!
Quelle idée aussi de donner rendez-vous au milieu de nul par avec un vaisseau furtif camouflé.
Heureusement qu’Oscara sait faire déraper des vaisseau dans l’espace, j’évite d’y penser, ça me donne mal au crâne.
On se pose sans plus de problème, Heineken nous fait un débrief par holo-conf, et tente de nous dire qu’on a pas rempli le contrat parce qu’on a récupéré un droïde qui était à nous, Osca lui rappelle qu’on vient de lui faire gagner 50 000 creds et qu’il est pas obligé d’être ingrat, étrangement ça a l’air de le calmer, et il coupe la transmission.
LITTÉRALEMENT
TROIS
SECONDES
PLUS
TARD
Le vaisseau sort de l’hyperespace en cahotant, on entend des explosions, et le droïde de protocole dans la salle (avec la nouvelle couche de peinture encore humide et le symbole des « rebelles » collé par-dessus celui de l’empire) sort un blaster intégré et nous tire dessus.
Lowrick 1, Droïde 0
R5 se connecte au système et on arrive a avoir une communication avec la capitaine Hylo Sortuli du vaisseau qui nous informe que :
- les droïdes impériaux on commencé à attaquer
- ils ont saboté l’hyperdrive
- ils tirent à vue
- ils ont pris le contrôle de la majorité du vaisseau
- et pour finir apparemment on est sorti à coté d’un trou noir et on dérive dangereusement vers lui
Tout ça parce qu’il fallait absolument que Mosieur le commandant active immédiatement ses droïdes de seconde main tout neufs sans même vérifier que ce ne soit pas des robots tueurs… Apparemment on est sur un vaisseau des renseignements… Je suis le seul sur ce vaisseau doué de bon sens ?
Donc pour éviter de mourir dans d’atroces souffrance par spagghettification ou par robot tueur, on doit :
- reprendre le pont de commandement
- contacter la flotte rebelle pour les informer que leur position est compromise puis saboter les comms principales
- diffuser un message d’évacuation via les comms secondaires
- désactiver tous les vaisseaux doté d’un hyperdrive dans les deux hangars
- délivrer les membre d’équipages emprisonné pour reprendre le vaisseau
- remettre le vaisseau en état si possible
- et puis un café bien serré avec deux sucres aussi
Pendant qu’on se déplace vers le pont de commandement, on entend que la capitaine s’est fait attrapé par les droïdes, qui sont apparemment dirigés par un droïde tactique de la guerre des clones, preum’s sur son épave.
La porte est verrouillée, mais pas longtemps, avant d’entrer, je me connecte quand même au réseau de surveillance, et on voit 5 droïdes de protocole armé qui on pris l’équipage en otage, pendant que des astromechs bidouillent les ordinateurs, on rentre.
Lowrick 2, Droïde 0
On apprend par le second que la capitaine a été emmené par le commandant droïde vers les modules de survie, on le poursuit mais on arrive juste à temps pour les voir partir dans un des pod.
Lowrick 2, Droïde 1
On remonte en quatrième vitesse aux comms principales, on sort du turbolift, 2 droides à la sortie.
Lowrick 3, Droïde 1
On reprend les comms, les opérateur transmettent le message puis sabotent le matos, ça devient plus dur de respirer…
On descend au hangar avant, les pilotes sont enfermés dans une salle avec 3 gardes
Lowrick 4, Droïde 1
On les libère puis on prend d’assaut le hangar où des astromechs ont commencé à démarrer les chasseurs, 3 réussissent à décoller, avec les pilotes sur leurs talons, mais qui se font cibler par la DCA.
Lowrick 4, Droïde 2
Ça devient vraiment dur de respirer.
Du coup j’étais presque joyeux quand ce poivrot de Labria nous a sortis de la mouise, en arrivant avec le mec qui nous canardait sous le bras, un blaster sur sa tempe (ou le terme approprié pour les rodiens). Pendant que notre cher gran s’improvisait preneur d’otage, Ipuh nous a détachés et on est monter dans le vaisseau, alors que la frégate a commencé à partir en morceau (plus vite qu’à l’accoutumé). Osca a commencé à décoller en laissant Labria en plan avec les rodiens, il a quand même réussi à s’accrocher à la rampe d’embarquement qui avait été laissé ouverte par un mystérieux individu, le problème, c’est que Seelo aussi s’y ait accroché.
Nous voila donc, dans un vaisseau sur le point de partir en flamme, avec un passager et un clandestin accroché à une rampe dont la fermeture assurerai l’étanchéité de l’appareil mais la mort douloureuse des deux malheureux.
Dans cette situation, et tant d’autre, un wookie est la solution.
Un alcoolo supplémentaire à bord et un rodien grillé plus tard, ON SE CASSE !!!
Le vaisseau des rodiens a plein de trucs cools, comme une cuve à bacta, des vrais lits, un traceur verrouillé sur le RAS, on arrête pas le progrès…
par contre ils ont pas l’air d’avoir un hyperdrive fonctionnel, bon bah c’est parti pour une réparation dans le vide, youpi…
Dans la liste des trucs du RAS que je ne regrette pas, Minocc était le seul dont je pensait m’être débarrassé, faut croire que l’univers me hais, parce que devinez sur qui je suis tombé que charcutait l’alim de notre hyperdrive…
Pendant que je me tatanais en apesanteur avec notre petit saboteur (au son émulé d’un charmant refrain qui se joue à chaque fois que je dois en venir aux mains) Low et Labria se sont empressés de piller la gnôle des précédents propriétaires, tout en pariant sur le vainqueur, Labria, le perdant, à du servir un verre à Lowrick, qui l’a siroté pendant que je remettais cette coquille de noix en état de voyagé en hyperespace, à ce stade là, ça m’étonne presque qu’ils soient pas partis sans moi.
Un petit voyage en direction du traceur, et on arrive devant CA
Je savais bien que notre cher Han s’était accoquiné avec des pirates qui prétendent se battre « pour la restauration de la République gnagnagna et puis aussi pour les petits oiseau », mais je m’attendait à un groupe de hippies shootés au rill, pas une armada capable de prendre une planète. Après, ils sont peut-être un peu plus calmes que la moyenne, parce que deux X-wing, oui, j’étais aussi très excité, nous ont escortés dans un hangar, plutôt que de nous abattre direct.
Nous avons ainsi fait la connaissance du commandant (je vous jure, ya des pirates qui partent dans des égo-trip) Crakers, je crois, et de ses méthodes d’interrogatoire, à savoir, « je pose que des questions auxquelles je connais déjà la réponse », qui nous à dit que si on pouvait servir d’intermédiaire avec un certain autre capitaine pirate, ils nous tueraient pas.
On s’est donc retrouvé une nouvelle fois embarqué dans un vaisseau pourri à peine capable de maintenir une pression atmosphérique viable, piloté par les très charmantes Bratica et 11-10-0(surnommée Liloo), pendant que Osca tentait de maquer les deux wookies, j’ai fait une liste non-exhaustive des trucs qui allait pas, et il y en avait beaucoup, je crois que le pire c’était les sondes des systèmes de survie qui avaient été remplacées par des interrupteurs, après deux heures de réparation express et de câble-management, on est parti.
Bizarrement, c’est beaucoup plus facile de rentrer dans une station quand on a pas un menteur compulsif qui s’occupe de convaincre les contrôleurs, Scrapjaw nous a directement amené à Gideon, qui a posé les questions de politesse, « comment ça va ? », « c’est quoi cette autre épave que vous avez encore trouvé ? », « pourquoi vous avez envoyé le signal et quand on est arrivé yavait plus personne et d’ailleurs, il est où mon beau-frère ? », bref, du classique. On lui a vite fait un topo, puis on est passé aux choses sérieuses, acheter pour un demi-million de crédits de droïdes « trouvés », enfin, Oscara a fait ça, nous on est resté derrière à moitié stupéfaits alors qu’elle a négocié un rabais de 10 %, elle a jamais fait ça pour nous !!!
Une fois l’affaire conclue, Scrapjaw nous a emmené récupérer la cargaison de droïdes, et on a tout de suite compris où ils avaient été « trouvés », la peinture noire et l’emblème impérial rendaient l’exercice plutôt simple, mais dans les droïdes, un m’était plutôt familier, un astromech de série R, repeint mais reconnaissable parmi mille, R5 !!! Qui ? A demandé Lowrick, mais j’étais trop occupé pour noter de desserrer les boulons de son lit quand j’aurai le temps, pour l’instant, j’avais du boulot et une bonne raison autre que « tu mourra pas ».
- Problème, la cargaison est 2 fois plus grosse que notre poubelle volante
- Solution, prendre le vaisseau cargo que la bande de Gideon nous a gracieusement offert
- Problème, le cargo à pas de navi-ordinateur et les deux autres veulent pas abandonner leur vaisseau
- Solution, on remplace la cabine du cargo par le Rigger tout pourri, qui a au moins le mérite d’avoir un navi ordinateur, je suis génial
Liloo est pas très confiante pour les calcul d’astrogation, du coup je dois m’y coller, on est parti.
Pendant le voyage, je fait une petite RAZ de R5, je sais pas ce que les impériaux on mis dans sa mémoire et j’ai certainement pas envie de me faire prendre avec, une bonne chose que j’ai fait une bac-up quand on est allé récupérer Koulband-Jaxwab, dommage qu’elle soit resté dans le RAS, je le décape aussi, le noir lui va pas bien.
En sortant de l’hyperespace aux coordonnées indiquées, on voit personne, peut-être qu’ils vont arriver plus ta-aaAAAHHH !!!
Quelle idée aussi de donner rendez-vous au milieu de nul par avec un vaisseau furtif camouflé.
Heureusement qu’Oscara sait faire déraper des vaisseau dans l’espace, j’évite d’y penser, ça me donne mal au crâne.
On se pose sans plus de problème, Heineken nous fait un débrief par holo-conf, et tente de nous dire qu’on a pas rempli le contrat parce qu’on a récupéré un droïde qui était à nous, Osca lui rappelle qu’on vient de lui faire gagner 50 000 creds et qu’il est pas obligé d’être ingrat, étrangement ça a l’air de le calmer, et il coupe la transmission.
LITTÉRALEMENT
TROIS
SECONDES
PLUS
TARD
Le vaisseau sort de l’hyperespace en cahotant, on entend des explosions, et le droïde de protocole dans la salle (avec la nouvelle couche de peinture encore humide et le symbole des « rebelles » collé par-dessus celui de l’empire) sort un blaster intégré et nous tire dessus.
Lowrick 1, Droïde 0
R5 se connecte au système et on arrive a avoir une communication avec la capitaine Hylo Sortuli du vaisseau qui nous informe que :
- les droïdes impériaux on commencé à attaquer
- ils ont saboté l’hyperdrive
- ils tirent à vue
- ils ont pris le contrôle de la majorité du vaisseau
- et pour finir apparemment on est sorti à coté d’un trou noir et on dérive dangereusement vers lui
Tout ça parce qu’il fallait absolument que Mosieur le commandant active immédiatement ses droïdes de seconde main tout neufs sans même vérifier que ce ne soit pas des robots tueurs… Apparemment on est sur un vaisseau des renseignements… Je suis le seul sur ce vaisseau doué de bon sens ?
Donc pour éviter de mourir dans d’atroces souffrance par spagghettification ou par robot tueur, on doit :
- reprendre le pont de commandement
- contacter la flotte rebelle pour les informer que leur position est compromise puis saboter les comms principales
- diffuser un message d’évacuation via les comms secondaires
- désactiver tous les vaisseaux doté d’un hyperdrive dans les deux hangars
- délivrer les membre d’équipages emprisonné pour reprendre le vaisseau
- remettre le vaisseau en état si possible
- et puis un café bien serré avec deux sucres aussi
Pendant qu’on se déplace vers le pont de commandement, on entend que la capitaine s’est fait attrapé par les droïdes, qui sont apparemment dirigés par un droïde tactique de la guerre des clones, preum’s sur son épave.
La porte est verrouillée, mais pas longtemps, avant d’entrer, je me connecte quand même au réseau de surveillance, et on voit 5 droïdes de protocole armé qui on pris l’équipage en otage, pendant que des astromechs bidouillent les ordinateurs, on rentre.
Lowrick 2, Droïde 0
On apprend par le second que la capitaine a été emmené par le commandant droïde vers les modules de survie, on le poursuit mais on arrive juste à temps pour les voir partir dans un des pod.
Lowrick 2, Droïde 1
On remonte en quatrième vitesse aux comms principales, on sort du turbolift, 2 droides à la sortie.
Lowrick 3, Droïde 1
On reprend les comms, les opérateur transmettent le message puis sabotent le matos, ça devient plus dur de respirer…
On descend au hangar avant, les pilotes sont enfermés dans une salle avec 3 gardes
Lowrick 4, Droïde 1
On les libère puis on prend d’assaut le hangar où des astromechs ont commencé à démarrer les chasseurs, 3 réussissent à décoller, avec les pilotes sur leurs talons, mais qui se font cibler par la DCA.
Lowrick 4, Droïde 2
Ça devient vraiment dur de respirer.
Re: [STAR WARS FFG] Suite de la campagne "Le Hutt a le bras long"
Ça a été très confus comme combat, on est rentré dans le hangar, puis de prise d’otage en carambolage, on s’est retrouvé dans une navette de rechange avec des droïdes très remontés qu’on ait compacté leur chef, mis à part ça, la capitaine du vaisseau est étalée sur le sol du hangar, inerte, je suis presque sûr qu'elle est pas morte.
ausculte Sortuli, enfin je m’y colle quoi. Bonne nouvelle, elle est en vie et elle risque de pouvoir remarcher, moyennant quelques implants, par contre on a un autre problème, je sais pas si c’est un gros plan de fourbe ou une vraie info, mais les droïdes ont annoncé sur un canal ouvert que le vaisseau passerait l’horizon du trou noir dans une heure, ce qui a immédiatement lancé un débat sur la meilleure marche à suivre, finalement, on continue sur notre lancé initiale, direction la salle des machines !
On aurait pas été à deux doigts de finir spaghettifiés, ç’aurait été le Jour de la Vie, plusieurs tonnes de matos, 7 énormes moteurs, dont 2 presque pas flingués, des astromech qui s’affaire et un droide qui joue au petit tortionnaire avec un sullustan attaché à une table, ça j'aurai fais sans, bon, on fait comme d’hab. Le sullustan est mal en point, mais il nous explique que les droïdes ont tenté de réparer les moteurs, sans grand succès, et que leurs tentatives ont mis HS les deux premiers, pendant qu’Oscara essaye de lui faire croire qu’elle est capitaine dans l'Alliance, j'inspecte les engins.
Je vois comment on peut les relancer, mais il me manque 2 paires de bras pour faire le boulot, l’autre tête de champi, nommée Niuk Niuv, pourra m’aider, mais ça suffira pas, j’aurai dû naître bessalisk.
Et voila que surgi du couloir mon bon vieux R5, un peu moins brillant que tout à l’heure, et sans les types à qui je l’avait confié, mais on va pas faire la fine bouche, avec lui et Niuk Niuv, on réussi in extremis à réparer le dernier réacteur.
Victoire, ou pas, un type au sol rend son dernier souffle, on dirait c’est trop tard pour l’équipage.
Bof, on aura essayé.
Sauf que voila, Oscara à décidée qu’elle allait nous faire une crise de conscience alors qu’on a moins de 30 min pour sauver ce rafiot (info de droïde), apparemment, elle s’est rendu compte que trucider des petits vieux sans défense c’est pas bien, sans blague, et elle essaye de m’expliquer que c’est ma faute si ils sont morts, ya plus de trous dans sa logique que dans l’aération du RAS, mais si elle y tient tant que ça, on en discutera quand on sera plus en DANGER DE MORT IMMINENTE !!!
On trace vers le pont de commande, ils auraient dû modifier la trajectoire du Raptor, en plus R5 était tout seul, ça pue.
Retour à la case départ, la passerelle de contrôle, avec encore plus de droïdes qu’avant.
Ils se font dégager, sans surprise, mais un astromech a pris le contrôle du vaisseau l’espace d’un instant et l’a fait foncer à toute berzingue vers le trou noir, Oscara réussi une manœuvre qui défie une demi-douzaine de lois de la physique et réussi à rattraper le coup.
Victoire, sauf qu’un autre vaisseau sort de l’hyperespace…
Merde !
C’est un vaisseau rebelle.
Victoire !
Il nous demande qui on est et où est l’équipage.
Et merde ...
ausculte Sortuli, enfin je m’y colle quoi. Bonne nouvelle, elle est en vie et elle risque de pouvoir remarcher, moyennant quelques implants, par contre on a un autre problème, je sais pas si c’est un gros plan de fourbe ou une vraie info, mais les droïdes ont annoncé sur un canal ouvert que le vaisseau passerait l’horizon du trou noir dans une heure, ce qui a immédiatement lancé un débat sur la meilleure marche à suivre, finalement, on continue sur notre lancé initiale, direction la salle des machines !
On aurait pas été à deux doigts de finir spaghettifiés, ç’aurait été le Jour de la Vie, plusieurs tonnes de matos, 7 énormes moteurs, dont 2 presque pas flingués, des astromech qui s’affaire et un droide qui joue au petit tortionnaire avec un sullustan attaché à une table, ça j'aurai fais sans, bon, on fait comme d’hab. Le sullustan est mal en point, mais il nous explique que les droïdes ont tenté de réparer les moteurs, sans grand succès, et que leurs tentatives ont mis HS les deux premiers, pendant qu’Oscara essaye de lui faire croire qu’elle est capitaine dans l'Alliance, j'inspecte les engins.
Je vois comment on peut les relancer, mais il me manque 2 paires de bras pour faire le boulot, l’autre tête de champi, nommée Niuk Niuv, pourra m’aider, mais ça suffira pas, j’aurai dû naître bessalisk.
Et voila que surgi du couloir mon bon vieux R5, un peu moins brillant que tout à l’heure, et sans les types à qui je l’avait confié, mais on va pas faire la fine bouche, avec lui et Niuk Niuv, on réussi in extremis à réparer le dernier réacteur.
Victoire, ou pas, un type au sol rend son dernier souffle, on dirait c’est trop tard pour l’équipage.
Bof, on aura essayé.
Sauf que voila, Oscara à décidée qu’elle allait nous faire une crise de conscience alors qu’on a moins de 30 min pour sauver ce rafiot (info de droïde), apparemment, elle s’est rendu compte que trucider des petits vieux sans défense c’est pas bien, sans blague, et elle essaye de m’expliquer que c’est ma faute si ils sont morts, ya plus de trous dans sa logique que dans l’aération du RAS, mais si elle y tient tant que ça, on en discutera quand on sera plus en DANGER DE MORT IMMINENTE !!!
On trace vers le pont de commande, ils auraient dû modifier la trajectoire du Raptor, en plus R5 était tout seul, ça pue.
Retour à la case départ, la passerelle de contrôle, avec encore plus de droïdes qu’avant.
Ils se font dégager, sans surprise, mais un astromech a pris le contrôle du vaisseau l’espace d’un instant et l’a fait foncer à toute berzingue vers le trou noir, Oscara réussi une manœuvre qui défie une demi-douzaine de lois de la physique et réussi à rattraper le coup.
Victoire, sauf qu’un autre vaisseau sort de l’hyperespace…
Merde !
C’est un vaisseau rebelle.
Victoire !
Il nous demande qui on est et où est l’équipage.
Et merde ...